Présenté en avant-première à Paris Cinéma, Le Sommeil d'or de Davy Chou sort en salles le 19 septembre 2012. On ne peut que saluer sa présentation sur grand écran, tant le film est à la fois un émouvant documentaire sur une cinématographie perdue (celle du Cambodge des années 60 à 75) et une belle œuvre de cinéma. Par Victor Lopez.
À l'occasion de la sortie DVD du Voyage vers Agartha, nous revenons sur l'œuvre, courte mais déjà passionnante de Makoto Shinkai, avec ce superbe premier long métrage. Par Justin Kwedi.
Le monument cinématographique de Kim Ki-young qui a inspiré The Housemaid de Im Sang-soo en 2009 ressort dans les salles françaises. L'occasion de rencontrer La Servante originale, et de succomber à sa dérangeante cruauté grotesque. Par Victor Lopez.
Sono Sion poursuit son petit bonhomme de chemin en accouchant de films à un rythme régulier et continue à accroitre sa popularité auprès du public occidental. La projection à Paris Cinéma de Guilty of Romance (dans sa version longue le jeudi 5 juillet à 21 heures au MK2 Bibliothèque), dernier volet de sa "trilogie de la haine", présentée en séance spéciale à la quinzaine des réalisateurs à Cannes, est l'occasion de revenir sur le film avant sa sortie en salles le 25 juillet. Par Anel Dragic.
Suite à une énième interruption de tournage de son wu xia pian, Les Cendres du temps, Wong Kar-wai s'offre une récréation avec un petit film filmé à l'arrache dans Hong Kong avec une équipe réduite et un script rachitique. Essentiellement destiné à lui redonner le plaisir et l'envie de tourner avec une œuvre plus modeste et libre en opposition à la lourde logistique des Cendres du Temps, le "petit" film constituera finalement l'un des joyaux de sa filmographie avec Nos Années Sauvages et In the Mood For Love. C'est Chungking Express, à (re)découvrir absoluement à Paris Cinéma. Par Justin Kwedi.
L'hommage à Hong Kong de Paris Cinéma permet de se focaliser sur un des plus beaux représentant du cinéma indépendant de HK avec la projection de Love Unto Waste, une pépite dtant de 1985. Par Anel Dragic.