Aujourd'hui 10 avril, une journée totalement asiatique s'est révélée aux yeux de votre serviteur plongé en plein BIFFF, avec une séance de rattrapage indispensable et deux films intéressants.
Bien évidemment, les spectateurs du BIFFF ne se repassent pas que des pellicules asiatiques. Cette journée permit ainsi de découvrir de grands films, comme Night Train To Lisbon ou Chained, ce dernier confirmant le talent de Jennifer Lynch. Mais, pour East Asia, le regard se tourne vers un diptyque, composés de Tai Chi Zero et Tai Chi Hero. Par Yannik Vanesse.
Après un film d'ouverture auquel votre serviteur n'a pu assister, la première journée du BIFFF cuvée 2013 déroule son tapis cinéphagique devant mes yeux. Et pour commencer, ce fut une petite mise en bouche sous la forme d'un nanar volontaire australien (Le 25ème Reich, au concept délirant) avant d'attaquer les hostilités purement eastasiennes. Par Yannik Vanesse.
AsiaHolic, le site de référence sur les sites consacrés à l'Asie, s'associe à East Asia pour vous présenter les meilleurs textes issus de blogs. Cette semaine, mise en lumière du blog de 2 sœurs passionnées et cinéphiles : les Stellar Sisters. Afin de connaitre un peu plus leur univers, nous vous proposons de lire leur article consacré au film sud coréen The Thieves.
Ce n’est pas tous les jours que l’on peut voir un film népalais. Le Festival du Film d’Asie du Sud Transgressif (FFAST) en a justement projeté lors de sa dernière édition. Loot de Nischal Basnet est apparemment un des films qui ont marqué l'année 2012 au Népal, devenant rapidement « culte ». Ce film de gangsters vaut-il le détour ? Par Marc L'Helgoualc'h.
Projeté lors du Cycle Shadows, consacré au cinéma indépendant chinois, This Happy Life (幸福生活) est le troisième long-métrage de Jiang Yue (蒋樾), un réalisateur habitué à tourner pour la télévision. This Happy Life est un film documentaire croisant les vies de deux employés d'une gare de Zhengzhou. Tout cela dans une Chine en pleine mutation qui s'ouvre au capitalisme, bouleversant l'avenir et les espoirs des familles. Par Marc L'Helgoualc'h.