Dès son deuxième long-métrage, Vive l’amour (1994), Tsai Ming-liang commence à s’engouffrer dans la radicalité qui fera sa renommée, bien plus que sa précédente expérimentation. Second film du coffret de Survivance consacré aux débuts du réalisateur taïwanais. Il accompagne Les Rebelles du dieu néon (1992) et La Rivière (1997).
A l’aube de son cinéma, le réalisateur Tsai Ming-liang, aujourd’hui plébiscité dans les festivals du monde entier, étudiait déjà les motifs qui formeront son art si singulier. Les Rebelles du dieu néon (1992) en incarne l’essence, premier film du coffret DVD édité par Survivance et consacré aux débuts de ce grand nom de la scène taïwanaise. Il accompagne Vive l’amour (1994) et La Rivière (1997).
Grand auteur reconnu pour l’adaptation des arts scéniques sur grand écran, Ichikawa Kon incarne la modernité japonaise à l’aune de l’esthétique théâtrale classique. La Vengeance d’un acteur (1963), récemment restauré en 4k par la Kadokawa, est disponible en combo DVD/Blu-Ray depuis le 01/12/2020 aux éditions Rimini.
Troisième et dernier volet qui sonne le glas de la grande trilogie humaniste de Kobayashi Masaki : La Condition de l’homme. Partie I : Il n’y a pas de plus amour ; Partie II : Le chemin de l’éternité ; Partie III : La prière du soldat. Un long et périlleux voyage au bout de l’enfer que nous avons pu suivre de la plus immersive des façons grâce au coffret Blu-Ray remasterisé de Carlotta. Ne restent plus que les durs adieux à accepter, et cela se passe dans La Condition de l’homme III : La prière du soldat.
Succès auprès de nombreux festivaliers dont critiques de la Berlinale, The Shepherdess and the Seven Songs de Pushpendra Singh représente l’Inde à la 42ème édition du Festival des 3 Continents, dans la sélection spéciale.
A la suite d’un premier opus nous plongeant dans l’horreur et l’ignominie des camps de travail japonais, Kobayashi Masaki réitère et pousse le vice plus loin encore. Pour rappel, La Condition de l’homme est une fresque de guerre ciselée en trois parties : Partie I : Il n’y a pas de plus grand amour (1959) ; Partie II : […]