Dernier opus de la Trilogie Musashi réalisée par Inagaki Hiroshi, et ultime étape pour le désormais impassible Miyamoto Musashi. La Voie de la lumière (1956), suivant La Légende de Musashi (1954) et Duel à Ichijoji (1955), marque la fin d’un voyage, qu’il serait fort gré de découvrir au cinéma dans sa fantastique version restaurée dès […]
Pour ce deuxième volet de la Trilogie Musashi, Inagaki Hiroshi semble répondre à nos attentes et entrer dans le vif du sujet, après un opus introductif certes convaincant, mais plus confus qu'en confiance avec la biographie romancée par Yoshikawa Eiji au XXe siècle du samouraï de légende Miyamoto Musashi. Duel à Ichijoji (1955) succède à La Légende de Musashi (1954), et prépare le terrain pour le grand final du triptyque, La Voie de la lumière (1956). Tous trois sortent simultanément au cinéma, distribués par Carlotta dans leur splendide version restaurée.
Près de 70 ans après sa sortie au Japon, la légendaire trilogie du samouraï Miyamoto Musashi, avec Mifune Toshiro en premier rôle et adaptée du roman éponyme de Yoshikawa Eiji, nous parvient au cinéma pour la première fois en version restaurée. Un triptyque composé de La Légende de Musashi (1954), Duel à Ichijoji (1955) et La Voie de la lumière (1956), tous trois réalisés par un maître du chanbara et du jidai-geki chez la Toho, Inagaki Hiroshi.
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