Après Le Garçon et la Bête (2015) et Miraï, ma petite sœur (2018), voici Belle, le nouveau long métrage d'animation de Hosoda Mamoru. Un conte à la Belle et la Bête entre adolescents japonais... et transposé dans un métavers : les sentiments amoureux sont-ils solubles dans les pixels ? Hosoda y répond en 124 minutes.
Dans son Dictionnaire du cinéma coréen, Antoine Coppola revient sur la décennie 2011-2020 qui a vu l’industrie sud-coréenne confirmer son dynamisme et sa volonté de puissance, jusqu’à la consécration de Parasite de Bong Joon-ho, Palme d'Or au Festival de Cannes en 2019.
Djamboul d’Efim Dzigan est un film biographique sur Djamboul Jabayev, musicien et poète improvisateur kazakh, élevé au rang de figure nationale pour son soutien au bolchévisme à partir de la Révolution d’Octobre. Ce film est diffusé en ligne jusqu'au 16 décembre dans le cadre du Festival du Film Kazakhstanais.
Dans le cadre de Japanese Fringe, un focus sur le cinéma indépendant japonais post-Fukushima, La Cinémathèque française a eu la bonne idée de mettre en ligne, sur sa plateforme Henri, Touching the Skin of Eeriness de Hamaguchi Ryusuke, moyen métrage de 2013 et introduction au long métrage Floods, une œuvre encore non réalisée.
Les Contes du hasard et autres fantaisies sont une collection de trois histoires courtes de Hamaguchi Ryusuke, l'un des réalisateurs japonais les plus en vus du moment, après les succès publics et critiques de Senses, Asako I&II et Drive My Car. À histoires courtes, chronique longue. Soyez indulgents. Pour les moins téméraires qui n'iront pas au bout de ce texte : ce film est excellent et c'est peut-être ce que Hamaguchi a réalisé de mieux jusqu'à présent. Grand Prix du jury au Festival de Berlin et en compétition au Festival des 3 Continents !
Pour son quatrième long métrage, Careless Crime, Shahram Mokri mélange avec astuce la fiction et la grande histoire, à savoir l’incendie d’une salle de cinéma en 1978, un tournant de la révolution iranienne.