Le jeudi 17 mai se tenait à Paris dans les locaux de l'Institut d’Études Supérieures des Arts (IESA) un concours de nouveaux talents taïwanais à travers 10 courts-métrages dont le vainqueur s'est avéré être Reflection de Chuang Ching-Shen. Une opportunité pour East Asia de découvrir et partager avec vous ce cinéma si méconnu en France hormis TSAI Ming-Liang, ANG Lee, le défunt Edward YANG (auteur du chef-d’œuvre Yi Yi) et HOU Hsiao Hsien. Autant dire dès le début, que nous n’avons pas été déçus, loin de là ! Par Julien Thialon
Kora est un film sino-taiwanais de Du Jiayi qui a remporté le prix de la meilleure contribution artistique au 24ème festival international de Tokyo en 2011. Arrivant donc avec les honneurs en France dans le Festival du cinéma chinois, il me tardait d’apprivoiser ce premier film dit « d’auteur » de l’ancien producteur de Chen Kaige (Adieu ma concubine, Wu ji, la légende des cavaliers du vent, L’Empereur et l’assassin). Autant dire tout de suite que ma déception fut aussi grande que l’attente consacrée pour ce nouveau réalisateur qui se cherche encore. Par Julien Thialon.
La Disparition d’Haruhi Suzumiya (Suzumiya Haruhi no Shōshitsu) est un film d'animation faisant suite à la série La Mélancolie d’Haruhi Suzumiya (Suzumiya Haruhi no yūutsu) tout en étant la fidèle représentation du quatrième roman éponyme de Nagaru Tanigawa. Le visionnage de ce long métrage est fortement conseillé aux personnes ayant visionné préalablement les deux saisons de l’anime ou la lecture des trois premiers romans afin d’avoir les pré-requis indispensables à la compréhension de l’intrigue. Par Julien Thialon.
« Nous lançons le 18ème Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul » ! Julien Thialon y était et vous raconte la soirée d'ouverture du 14 février.