Bonjour et bienvenue dans le box office ! Aujourd’hui nous nous intéresserons aux succès coréens dans la semaine du 9 au 16 novembre.
- Doctor Strange de Scott Derrickson (3ème semaine)
- Split de Choi Kook-hee (1ère semaine)
- Luck-Key de Lee Gae-byok (5ème semaine)
- Ouija : Les Origines de Mike Flanagan (1ère semaine)
- Gamba de Kawamura Tomohiro et Komori Yoshihiro (1ère semaine)
- If Cats Dissapeared from the World de Nagai Akira (1ère semaine)
- Moo-Hyun, the Story of Two Cities de Jeon In-hwan (3ème semaine)
- Shuriken Sentai Ninninger vs. ToQger the Movie: Ninjas in Wonderland de Nakazawa Shojiro (2ème semaine)
- The Notebook de Nick Cassavetes (1ère semaine de ressortie)
- Comancheria de David Mackenzie (1ère semaine)
C’est drôle, car les films japonais qui s’exportent dans les pays limitrophes (ou presque) sont rarement les mêmes que l’on voit en France. Là ou en France, on reçoit majoritairement des œuvres d’auteur estampillées Cannes ou Venise, les succès japonais en Asie du Nord Est semblent plus appartenir à un divertissement très populaire, notamment à l’intention des plus jeunes. Chez nous, pas de films pour la petite enfance, pas de sentais décomplexés, pas ou peu de dramas larmoyants alors qu’en Corée du Sud, avec respectivement 49 813, 16 048 et 33 194 entrées, Gamba, Shuriken Sentai… et If Cats Dissapeared from the World marchent suffisamment pour se hisser dans le top 10 des succès de la semaine.
Le succès de la semaine c’est sans aucun doute Doctor Strange, dernier film des studios Marvel, monté à la 10ème place des succès de l’années en 3 semaines et attirant toujours un demi million de spectateurs. Luck-Key, la comédie de Lee Gae-byok continue son beau parcours et arrive à un total de 6 874 316 places vendues, soit le huitième plus grand nombre de 2016.
Dernier film asiatique de la liste, Split, qui n’est pas un remake du prochain film de Night M.Shymalan mais bien un film original. Drame sportif à base de bowling et d’enfants autistes, il rassemble 336 800 coréens pour se hisser à la seconde place.
Elias Campos.
Source : Korfilm