Bonjour et bienvenue le dans Box Office ! Aujourd’hui nous allons nous intéresser aux succès de la semaine du 17 au 24 février au Japon !
- The Martian de Ridley Scott (3ème semaine)
- Nobunaga Concerto de Matsuyama Hiroaki (5ème semaine)
- Point Break de Ericson Core (1ère semaine)
- Saraba Abunai Deka de Murakawa Toru (5ème semaine)
- Star Wars: The Force Awakens de J.J Abrams (10ème semaine)
- Born in the EXILE de Hiroaki Hobo (2ème semaine)
- Sherlock: The Abominable Bride de Douglas Mackinnon (1ère semaine)
- Girls und Panzer der Film de Mizushima Tsutomu (14ème semaine)
- Doukyuusei de Shoko Nakamura (1ère semaine)
- Youkai Watch Movie 2 de Takahasi Shigeharu (10ème semaine)
On a souvent dit que le cinéma japonais a du mal à se renouveler dans ses thèmes et ses matériaux d’origine, mais cela ne commencerait-il pas à être vrai sur les films en eux-mêmes ? Trois des films de ce top 10 sont présents dans les salles nippones depuis 10 semaines ou plus. On peut alors légitimement commencer à se poser des questions et à chercher le pourquoi du comment. Premier soulagement, Girls und Panzer n’est pas un succès depuis plus de trois mois et, après avoir disparu des écrans, ne revient que grâce à son adaptation pour les salles en 4DX. Si vous ignorez ce que c’est que la 4DX, ce sont ces installations de fête foraine où les sièges bougent, où de l’eau tombe lorsqu’il pleut à l’écran. A priori ça marche, puisque 30 091 tickets ont étés vendus en un week-end.
Sinon The Martian n’était curieusement pas encore sorti au Japon et est, comme dans tous les pays ou il a été diffusé, un succès. Avec 190 575 spectateurs pendant le week-end dernier, Matt Damon et ses patates sont bien au dessus de la concurrence. Avec cinq semaines dans le top 2, Nobunaga Concerto s’impose aussi comme l’un des grands succès de ce début d’année 2016.
Et puis comme nous sommes au Japon, on retrouve à la 6ème place un documentaire/concert d’un groupe d’idols masculins, EXILE. On en pensera ce qu’on veut, mais c’est ça aussi la pop culture japonaise.
Elias Campos.
Source : Tokyohive