Mystery de Lou Ye :

Après deux films quelque peu décevants, le réalisateur d’Une jeunesse chinoise nous revient en force avec on l’espère un nouveau bijou cinématographique.

 

Soshite chichi ni naru de  Kore-eda Hirokazu :

Après une rétrospective intégrale à Vesoul, le réalisateur  japonais nous propose un nouveau drame familial avec en filigrane toujours sa thématique de la séparation.

Drug war  de Johnnie To :

Présenté à Rome en fin d’année, l’accueil pour ce retour aux sources a été très chaleureux. Vivement !

Pietà de Kim Ki-duk :

Après une traversée du désert et un retour remarqué à travers des productions et son Arirang, KKD revient en force avec Pietà qui a reçu le Lion d’or à Venise, comme son chef-d’œuvre Locataires. Assurément un nouveau tournant dans la carrière du cinéaste. Heureusement l’attente sera courte, le film est projeté au Black Movie en janvier et sera en avril dans les salles françaises.

The Garden of Words de  Shinkai Makoto :

Après Voyage vers Agartha, ce réalisateur indépendant bifurque vers une histoire d’amour contemporaine. Changement de thématique mais toujours aussi sublime ?

All esper dayo de Sono Sion :

Sono s’essaie à la série TV, il en faut moins pour susciter notre curiosité envers le réalisateur japonais le plus en vogue des festivals.

Stoker de Park Chan-wook :

Premier long métrage du réalisateur coréen passé du côté d’Hollywood. Beaucoup s’y sont cassés les dents, espérons que le réalisateur d’Old Boy en ressort grandit après son minimaliste Night Fishing.

Why Don’t You Play In  Hell de Sono Sion :

Premier blockbuster commercial pour le réalisateur japonais qui va à l’encontre de ses dernières réalisations en voulant traiter un sujet plus léger. Wait and see.

Le transperceneige de Bong Joon-ho :

Enfin le nouveau Bong Joon-ho, le réalisateur du célèbre The host s’essaie à l’adaptation d’une bande-dessinée post-apocalyptique, thème dans l’ère du temps.

The Grandmaster de Wong kar-wai :

Une éternité qu’on l’attend… Après plusieurs reports, un trailer qui claque bien comme il faut, y-a-t-il vraiment une raison pour que ce Wong Kar-wai soit décevant ? Peut-être une approche trop consensuelle pour toucher un large public, pitié non…