L'un des films les plus attendus par les amateurs de cinéma populaire coréen cette année au Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) était Hi-Five, le nouvel opus de Kang Hyoung-chul, célèbre pour Sunny et Swing Kids. Le cinéaste s'attèle ici à créer un film de super-héros résolument coréen, avec le talent pour la mise en scène et le goût du travail musical qu'on lui connaît.
L'exil et l'identité se mêlent dans 3670, le très beau premier long-métrage de Park Joonho. Récit d'une éclosion où chacun cherche sa voie/x. C'était à découvrir au Festival du Film Coréen à Paris (FFCP).
Le Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) a lancé les festivités de sa 20e édition avec My Daughter is a Zombie de Pil Gam-sung, une comédie familiale attachante qui avance au rythme des cœurs battants - ou pas - de ses personnages.
Le Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) aura cette année lieu au Publicis Cinéma du 28 octobre au 4 novembre. Pour les 2o ans du festival, le FFCP met cette année les petits plats dans les grands avec une programmation très riche.
Quelque chose semblerait manquer dans une édition du Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) si on n'y trouvait pas un drame historique explorant l'histoire de la Corée. Cette année, Land of Happiness de Choo Chang-min remplit un double rôle. Il s'agit à la fois de l'ultime film de Lee Sun-kyun et d'un film qui essaie de proposer un point de vue singulier sur l'assassinat de Park Chung-hee.
L'une des bonnes surprises de cette édition du Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) est le retour des séances dédiées aux classiques du catalogue de la Korean Film Archive. Cette année, la sélection était composée de trois films d'animation : l'adaptation du classique littéraire A Story of Hong Gil-dong de Shin Dong-hun (1967), le conte joué par des marionnettes Kongjui et Patchui de Gang Tae-ung (1978) et le film d'aventure patriotique General Ttoli: 3rd Tunnel de Kim Chung-gi (1978).