La carte blanche de la NFAJ à la Fondation Jérome Seydoux-Pathé continue ! Cette fois-ci, l’animation japonaise était à l’honneur avec le programme “animation japonaise des premiers temps”, sélection de court-métrages allant de 1917 à 1939. La séance était accompagnée au piano par Abel Saint-Bris.
La carte blanche de la NFAJ à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé était l’occasion de rediffuser Le Fil blanc de la cascade de Mizoguchi Kenji. Ce film du grand réalisateur que l'on ne présente plus est rarissime : non seulement il est l'un des quelques rescapés de sa période muet (aujourd'hui presque entièrement invisible), mais il est en plus complet. Et comme toujours à la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, les séances sont accompagnées musicalement par des artistes. Ici, la séance était accompagnée au piano par Thomas Lavoine.
Auteur de 400 petits films, souvent révolutionnaires, Ogino Shigeji (1899-1991) a été l'un des premiers cinéastes japonais indépendants, et un promoteur des réalisateurs de films amateurs au Japon à l'époque du muet. Avec une caméra et des "trucs", il a fait œuvre d'une volonté créative exaltée. Dans le cadre de la carte blanche à la National Film Archive of Japan, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé propose, en octobre 2025, 2 séances d'un programme de 9 courts-métrages de ce réalisateur de l'ère du muet et d'animation.
Du 30 octobre au 2 novembre se tiendra dans la cité nantaise la nouvelle édition des Utopiales, Festival International de Science-Fiction. Pour ses 25 ans, la thématique Singularités a été sélectionnée et sera analysée sous toutes ses coutures : littérature, bande-dessinée, expositions, conférences mais aussi cinéma !
En ce mois d'octobre 2025, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, dédiée à la programmation du cinéma muet, offre une carte blanche à la National Film Archive of Japan (NFAJ) pour proposer au public parisien des films nippons de l'ère du muet, rares et de styles variés. Parmi eux, Le Chevalier voleur, œuvre peu vue d'Ito Daisuke, l'un des réalisateurs les plus importants des années 1920 dans l'Archipel.
Junk World de Hori Takehide est la suite toute aussi dérangée et passionnante de Junk Head. Aucune distribution pour ce nouvel incontournable de la stop-motion japonaise n’a encore été annoncée en France, mais il a été sélectionné au Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg (FEFFS) !