Président du jury international du 31e Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul et récompensé d'un Cyclo d'Or pour l'ensemble de son œuvre, Jia Zhang-ke a profité de sa venue pour donner une masterclass au cours de laquelle il est revenu sur les grandes étapes de sa carrière.
La collection Cinéma(s) de L’Harmattan accueille un curieux petit livre de 120 pages, écrit par l’essayiste Jean Claude et dédié à balayer d’un coup d’œil l’ensemble du cinéma sinophone, comme une vaste introduction en la matière. Il s’intitule Quelques ombres électriques, petit guide du cinéma chinois à l’usage du paresseux curieux.
BLUE GIANT de Tachikawa Yuzuru (Japon) Le Mal n’existe pas de Hamaguchi Ryusuke (Japon) City of Darkness de Soi Cheang (Hong Kong) Les Graines du figuier sauvage de Mohammad Rasoulof (Iran) All We Imagine as Light de Payal Kapadia (Inde) L’Ombre du feu de Tsukamoto Shin’ya (Japon) Jeunesse (Le Printemps) de Wang Bing (Chine) Man in Black de Wang Bing […]
« Faire un film, c’est changer le monde. Même si rien ne change. » MIYAZAKI HAYAO
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il rend hommage aujourd’hui hommage à l’actrice Nakayama Miho (1970-2024). Partager Suivre
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre aujourd'hui ses impressions sur les éditions 2024 du TIFF (Tokyo International Film Festival) qui s'est tenu du 28 octobre au 6 novembre et de Tokyo FilmeX (23 novembre - 1er décembre).