Au cour des années 1960, le documentariste Kuroki Kazuo est passé à la fiction avec deux longs métrages teintés d’histoire et de politique : les traumatismes de la Seconde Guerre mondiale et de la bombe atomique dans Le Silence sans ailes (1966) et les possibilités d’une révolution socialiste en cours avec Cuba mon amour (1969), première et unique co-production nippo-cubaine.
La Cinémathèque rend hommage aux productions Siglo du 2 au 23 novembre, en proposant 16 documentaires et 8 fictions du studio de Yomagani Tetsujiro centré sur les problèmes sociaux du Japon. Par Victor Lopez.