Ah, l'été, ses vacances, son soleil, le sable chaud, tout ça... Ses blockbusters dans les salles obscures, et bien d'autres choses... Et aussi, bien sur, la gestation de la nouvelle formule du site, dont l'équipe vous rabâche les oreilles depuis longtemps à présent. Et pour ouvrir les hostilités de la rubrique DVD, quoi de mieux que de revenir sur les sorties de l'été ?
Cette semaine, pas mal de sorties, mais comme toujours en asie, pas grand chose à se mettre sous la dent, si ce n'est l’événement The Grandmaster. Par Jérémy Coifman
Après quelques années d'attente, The Grandmaster, le nouveau Wong Kar-wai se dévoile enfin. Le résultat est un film complexe, enivrant, souvent splendide, mais dont la teneur paradoxale et méandreuse laisse cependant l'étrange impression d'avoir assisté à la fois à un grand film et à une œuvre ratée. Tentatives d'éclaircissements par Victor Lopez.
Forcément en retard, mais ouvert et visiblement ravi de répondre aux questions des six journalistes qui avaient la chance de l’interviewer, Wong Kar-wai était à Deauville pour présenter son dernier film, The Grandmaster, en salles ce mercredi 17 avril. Au programme de près d’une demi-heure d’une passionnante table ronde : du kung-fu, bien sûr, mais aussi l’évolution des goûts cinématographiques à Hong Kong, son travail avec les acteurs, et… Sergio Leone. Propos recueillis par Victor Lopez.
Forcément en retard, mais ouvert et visiblement ravi de répondre aux questions des six journalistes qui avaient la chance de l’interviewer, Wong Kar-wai était à Deauville pour présenter son dernier film, The Grandmaster. Au programme de près d’une demi-heure d’une passionnante table ronde : du kung-fu, bien sûr, mais aussi l’évolution des goûts cinématographiques à Hong Kong, son travail avec les acteurs, et… Sergio Leone. Propos recueillis par Victor Lopez.
Fin des festivités. Après cinq jours passés dans les salles obscures, l’heure du bilan a sonné. Première remarque qui s’impose de suite : en Orient non plus, rien ne va plus. Tous les films sélectionnés, ou presque, décrivent une société malade, un monde en souffrance. Exception faite du dernier film vu, The Thieves (plus gros succès du cinéma coréen, comme quoi la positive attitude est toujours porteuse). Par Frédéric Rosset.