Le festival Kinotayo met à l'honneur le cinéaste Ozu à travers le film Printemps précoce, questionnement sur la place de la famille dans l’existence du salary man japonais.
La rétrospective Ozu est de retour au cinéma grâce à Carlotta, après son succès de l’année dernière. On redécouvre alors Printemps précoce, questionnement sur la place de la famille dans l'existence du salary man japonais.
Dans le cadre de Japonismes 2018, la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) organisera, à l'instar de la Cinémathèque française, un cycle sur le cinéma japonais du 21 novembre au 21 décembre. Le thème ? La magie du 4K à travers les grands classiques !
Ce 1er août, Carlotta nous fait le plaisir de sortir en salles 10 grands films d'Ozu Yasujiro en version restaurée 2K et 4K. Une belle occasion pour revenir sur ce grand cinéaste, qui apparaît certainement dans l'histoire comme l'un des réalisateurs qui, au fil de ses œuvres, a su construire le mieux un univers original et personnel. Il est frappant de découvrir à quel point les thèmes de ses films s’emboîtent les uns les autres avec une certaine logique.
A partir du 1er août, Carlotta propose de redécouvrir sur grand écran 10 grands classiques d'Ozu Yasujiro en version restaurée 2K et 4K : Printemps tardif, Eté précoce, Le Goût du riz au thé vert, Voyage à Tokyo, Printemps précoce, Crépuscule à Tokyo, Fleurs d'équinoxe, Bonjour, Fin d'automne et Le Goût du saké. On vous offre ici vos invitations pour cet événement exceptionnel !
Ce mois d’août sera l’occasion de (re)découvrir la filmographie de l’incontournable Ozu Yasujiro, puisque pas moins de dix de ses longs-métrages bénéficieront d’une ressortie dans les salles françaises. Partager Suivre