À partir du 31 juillet 2019, Capricci propose en salles une rétrospective de huit films du grand réalisateur japonais Mizoguchi Kenji. C'est l'occasion pour les spectateurs de se plonger dans l’œuvre de ce metteur en scène important du cinéma japonais classique, qui n'a, pour l'instant, pas été autant gâté que ses cadets Kurosawa Akira ou Ozu Yasujiro en termes de distribution. Et c'est l'occasion pour nous de revenir en détail sur son œuvre.
À partir du 31 juillet, Capricci propose une rétrospective du grand Mizoguchi Kenji. Au programme : Miss Oyu, L’Impératrice Yang Kwei-Fei, Une femme dont on parle, Les Musiciens de Gion, Les Contes de la lune vague après la pluie, Les Amants crucifiés, L’Intendant Sansho et La Rue de la honte. Nous vous offrons votre place ici !
Le 31 juillet, les cinémas français accueilleront 8 chefs d'oeuvre du cinéaste japonais Mizoguchi Kenji. On remercie Capricci Films !
Inédit en France, Quand une femme monte l’escalier constitue une étape importante dans la filmographie de Naruse Mikio. Outre la qualité de sa mise en scène, le film est porté par l’incroyable talent de Takamine Hideko, alors au sommet de sa carrière.
Alors que le cycle Shintoho reprendra bientôt à la Maison de la Culture du Japon (MCJP), un autre programme, plus court mais ô combien passionnant, se déroulera du 10 au 24 septembre, à l'occasion du 60e anniversaire de la disparition du cinéaste Mizoguchi Kenji.
L'un des maîtres du cinéma japonais, Mizoguchi Kenji, verra trois de ses films sortir dans les salles françaises en version restaurée. Et c'est pour maintenant !