Depuis le 31 octobre et jusqu'au 13 novembre se déroule le 26ème festival International de Cinéma d'Animation de Baillargues. Du festival « Jeune public » aux avant-premières, que serait l'animation sans l'Asie ? Par Kit Silencer.
Envie de découvrir les films de Kinotayo, le festival du cinéma japonais contemporain à la maison de la Culture du Japon à Paris, qui se tient entre le 8 et 29 novembre ? Pas de panique : East Asia vous offre 20 invitations pour une séance ! Pour les gagner, suivez le guide !
Mardi 18 octobre, fin du 6ème festival Franco-Coréen du film. Après sept jours de visionnage intensif, sept jours de gribouillages de notes pendant et après les films, de café (noir), de discussions engagées devant le cinéma avec des programmateurs passionnés, il est temps de dresser un bilan. Par Jérémy Coifman.
Kinotayo, le festival du cinéma japonais à l’ère numérique est de retour ! Si l’édition 2011 présente un peu moins d’inédits qu’à l’accoutumé (9 contre une quinzaine les années passées), les surprises et les événements seront tout de même bien au rendez-vous, notamment grâce à des invités prestigieux et des avant-premières attendues. Petit panorama des réjouissances à venir en attendant l’ouverture du festival, le 8 novembre à la Maison de la Culture du Japon ! Par Victor Lopez.
Invité d’honneur lors de la 5ème édition du FFCF en 2010, Ryoo Seung-wan est un jeune réalisateur, dont le film Die Bad fut considéré en Corée comme le premier long métrage le plus remarquable de l’histoire du cinéma coréen (rien que ça !). En 2000, il montrait avec ce film, son point de vue brutal sur le monde du début du 21ème siècle dans lequel coexistait la joie du nouveau millénaire et l’anxiété de la crise économique. Par la suite, quelques films comme No Blood No Tears ou encore The City of Violence ont suffi pour lui coller une étiquette de réalisateur de films d’action. Mais le cinéaste nous a également prouvé qu’il avait plusieurs cordes à son arc, notamment en matière de comédies loufoques, puisqu’avec son Crazy Lee en 2008, il nous gratifie d’un Austin Powers à la sauce coréenne, en bien plus barré. Avec un background comme celui-ci, il va sans dire que son dernier film, The Unjust était plus qu’attendu par votre humble serviteur… Par Olivier Smach.
Un premier film de (bien) plus de trois heures réalisé par un important critique coréen ? Esbroufe ou ambition esthétique démesurée ? Certainement un peu des deux : un film d'un interminable prétention, que quelques trop rares moments de grâce n'arrivent pas à rattraper. Par Victor Lopez.