Festival du film asiatique de Deauville 2013. Nous rencontrons pour la deuxième fois Sono Sion. Au réalisateur mutin et provocateur de la première entrevue, succède un homme plus enclin à parler de son présent, de son futur, de la politique actuelle du Japon. Visiblement détendu et content d'être là, il nous livrera même une histoire étonnante à la fin. Par Jérémy Coifman.
Fin des festivités. Après cinq jours passés dans les salles obscures, l’heure du bilan a sonné. Première remarque qui s’impose de suite : en Orient non plus, rien ne va plus. Tous les films sélectionnés, ou presque, décrivent une société malade, un monde en souffrance. Exception faite du dernier film vu, The Thieves (plus gros succès du cinéma coréen, comme quoi la positive attitude est toujours porteuse). Par Frédéric Rosset.