Comme l’on s’en souvient à l’époque, Princesse Mononoké était supposé être le dernier film de MiyazakiHayao, son œuvre testament avant une retraite bien méritée. Cette apothéose était au cœur de la richesse thématique, de l’ambition et l’aboutissement visuels du film. C’est également la démarche de Joe Hisaishi dont la bande originale flamboyante est un sommet de sa collaboration avec Miyazaki. Par Justin Kwedi.