L'acteur/chanteur hongkongais Aaron Kwok sera à l'affiche du prochain film d'arts martiaux de Chen Kaige.
En juin dernier était dévoilé le trailer de The Monkey King 3D. C'est maintenant au tour d'un teaser de débarquer sur la toile.
Le Festival du cinéma chinois en France nous revient pour sa deuxième édition. La programmation de l'an dernier se démarquait par une sélection de titres populaires s'éloignant des inconditionnelles sorties chinoises dans les salles françaises. Si en France, cinéma chinois rime avec cinéma social aussi bon soit-il, au budget généralement peu élevé (Jia Zhang Ke, Wang Quan'An...), il est en revanche beaucoup plus rare de voir dans nos salles les derniers succès populaires issus de la République Populaire de Chine. Pas de revirement de politique pour cette deuxième édition, qui continue à explorer le cinéma populaire du cinéma chinois contemporain. Un point donc sur les long métrages présentés, hors films d'animation. Par Anel Dragic
Gu Changwei fait partie de la « cinquième génération » du cinéma chinois. Dès ses tout premiers pas son talent est reconnu en Chine et ailleurs. Directeur de la photographie, il travaille avec Chen Kaige, Zhang Yimou, Jiang Wen sur Adieu, ma concubine, Les Démons à ma porte, Qiu Ju, une femme chinoise, parmi d’autres. C’est donc avec joie que nous le rencontrons à Paris, à l’occasion de la première française de son L’Amour eternel au Festival du cinéma chinois en France. Par Alexandra Bobolina.
D'un robot géant en Corée du Sud aux zombies taïwanais en passant par Donnie Yen en singe et du terrorisme en Thaïlande, c'est les news d'Asie ! Par Kit Silencer.
Il devient véritablement difficile de trouver son bonheur parmi les grosses productions hongkongaises. D'un côté, nous sommes bombardés de blockbusters wu xia (co-produits par la Chine mainland), synonymes des mises en scène américanisantes bien pompeuses et sans la moindre folie. De l'autre, on trouve City Under Siege... pardon... Blast (nan mais quel titre de merde, ça mériterait un BIP BIP BIP - suite à la violence des propos tenus à l'encontre de l'éditeur du film, East Asia se voit obligé de censurer cette introduction, mais vous aurez compris l'idée - Victor), qui l'a bien, lui, le grain de folie, quitte à passer pour un gros nanar friqué. Par Anel Dragic.