| Films | Captain Jim (Cinématraque) | Claire Lalaut | Flavien Poncet | Jonathan Deladerrière | Justin Kwedi | Romain Leclercq | Maxime Bauer | Thibaut Das Neves | Victor Lopez |
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The Divine Fury (FFCP 2019)
Kim Ju-hwan |
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« Un tel ratage, ça confine quasiment au brio. Ce n'était pas forcément l'intention du film mais qu'est-ce qu'on rigole ! »
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« Un blockbuster lisible mais quelque peu désincarné. »
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House Of Hummingbird (FFCP 2019)
Kim Bora |
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« Un premier film très ambitieux, trop long et éparpillé mais avec de réels moments de grâce. Ceci promet de belles choses à venir. »
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« Beau premier film souffrant de quelques longueurs, mais offrant un portrait adolescent juste et touchant, ainsi qu'une photographie (intime et collective) captivante de la société coréenne des années 90. »
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« Un passage en revue complet, profond et engagé de la vie d'une jeune fille dans la Corée des années 90. Le film demeure longuet sur le dernier tiers. »
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Swing Kids (FFCP 2019)
Kang Hyoung-chul |
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« Kang Yeong-cheol réussit un film à la fois énergisant et d'une grande ampleur tragique. Le divertissement populaire et musical à son meilleur. »
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Kim Gun (FFCP 2019)
Kang Sang-woo |
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« Une enquête qui se transforme en documentaire sur le traumatisme individuel et collectif. Bouleversant. »
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« Un brillant travail de mémoire et de cinéma. L'obsession de l'identité est douloureuse mais sonne comme un cri de vérité, contre l'obscurantisme. »
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Default (FFCP 2019)
Choi Kook-hee |
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« Drame intelligent et efficace sur les édifiantes coulisses de la crise monétaire de 1997 auquel il manque peut-être un souffle dramaturgique malgré un excellent casting. »
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« Dans la droite lignée des films économiques tels que The Big Short ou Margin Call, Default se révèle particulièrement clair, avec des moments d'indignation bienvenus. Et Vincent Cassel en négociateur du FMI qui cabotine, ça n'a pas de prix. »
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Between the Seasons (FFCP 2019)
Kim Junsik |
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« Un traitement sensible de son sujet et des comédiennes formidables mais des problèmes de rythme et une musique omniprésente qui réduit l'impact du film. »
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Second Life (FFCP 2019)
Park Young-ju |
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« Que de belles choses dans ce premier long métrage qui alterne cruauté et humanité avec une sensibilité qui annonce le meilleur. Mention spéciale à la merveilleuse actrice principale. »
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« Un joli drame doucereux mais dont le gros de l'intrigue semble assez vu et revu. »
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Army (FFCP 2019)
Kelvin Kyungkun Park |
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« Bien qu'inabouti, le film rend néanmoins bien compte de l'absurdité d'une institution obsolète, davantage génératrice de traumas que rite de passage formateur. »
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« L'ultrastress du service militaire est saisi à l'écran mais et après ? La réflexion manque quelque peu dans ce documentaire. »
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Another Child (FFCP 2019)
Kim Yun-seok |
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« Une famille forcée de s'unir, un scénario qui aboutit à une galerie de personnages caractériels mais très attachants. »
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Exit (FFCP 2019)
Lee Sang-geun |
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« Un survival qui fonctionne à plein grâce à un rythme soutenu, une idée de départ plutôt maligne et bien exploitée et enfin à la belle énergie de son duo d'acteurs. »
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« Une belle comédie qui s'amuse à se mouvoir dans des couloirs comme on joue à un jeu vidéo. Ludique ! »
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Au bout du monde (en salles le 23/10/2019)
Kurosawa Kiyoshi |
« Errance mélancolique de toute beauté. Kurosawa se perd et nous perd dans les paysages de l'Ouzbékistan... »
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« L'atmosphère indolente qui se dégage des films de Kurosawa n'est jamais désagréable mais sur celui-ci, comme sur tous ses plus récents, on peine à comprendre ce qu'il veut dire et l'expérience finit par sonner creux. »
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« Une drôle, attachante et parfois inquiétante perte de repères portée par une interprète suscitant une belle empathie. »
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« Pour ce trip en Ouzbékistan, Kurosawa nous ravit les yeux et l'esprit. On reconnaît ses obsessions, cette fois-ci teintées d'une foi en l'humanité. »
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« Fasciné par la présence magnétique d'une Atsuko Maeda Lost In Translation, Kurosawa livre une belle réflexion kiarostanienne sur l'altérité, le cinéma, les idols... »
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The Forest of Love (sur Netflix le 11/10/2019)
Sono Sion |
« Synthèse de tout le cinéma de Sion Sono en 2h30, c'est à la fois ébouriffant, choquant et volontairement indigeste. Quel film ! »
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« Et voilà, à cause de Sono Sion, je vais devoir mettre un film Netflix dans mon Top 10 2019... »
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Kusama : Infinity (en salles le 18/09/2019)
Heather Lenz |
« Malgré son formalisme académique, c'est un beau portrait d'une femme qui s'est faite beaucoup voler son succès. »
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Family Romance, LLC (Etrange Festival 2019)
Werner Herzog |
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« Cultivant le flou entre fiction et réalité, Herzog observe une société japonaise qui oscille entre recherche désespérée de lien affectif et besoin absolu de maintenir les apparences. Un constat qui serait quasiment caustique s'il n'était pas si édifiant. »
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« Entre impudeur sinistre et touchante introspection, une captivante observation de la rémission intime à la japonaise. »
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First Love (Etrange Festival 2019)
Miike Takashi |
« Du grand cru pour Miike, qui concentre un peu tout son cinéma - dont son côté romantique - dans un film à taille réduite mais indéniablement séduisant. »
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« Retour en forme pour Takashi Miike avec ce film sur un boxeur (un peu ahuri) qui se retrouve malgré lui au cœur d'une histoire de gangsters (pas très malins) et de mafia (un peu dépassée). Une comédie noire pleine d'énergie et tout simplement fun. »
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« Un bon cru pour Miike avec ce True Romance à la japonaise, entre coups de sang tapageurs et un romantisme pop plaisant. »
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« Un Takashi Miike en tres grande forme qui, au delà d’une histoire d’amitié somme toute classique, dresse un portrait noir et désenchanté d’une société gangrenée par la corruption et le crime, le tout saupoudré de beaucoup d’humour noir et de violence over the top. »
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« Miike livre avec First Love une sorte de synthèse de son cinéma. Résultat : c'est son premier film qu'on est en droit d'aimer complètement depuis des années. »
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Aragne: Sign of Vermillion (Etrange Festival 2019)
Sakamoto Saku |
« Un inconnu à Annecy m'a dit que je devais absolument voir ce film. Maintenant que je l'ai vu, je suis persuadé que ce n'était pas un inconnu, mais quelqu'un que j'ai blessé dans une vie intérieure et qui voulait me faire souffrir en retour. »
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Idol (Etrange Festival 2019)
Lee Su-jin |
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« On ressort perplexe de ce film assez interminable sur... on ne sait jamais vraiment quoi. Film politique, dénonciation des classes et de l'immigration, enquête policière, série B horrifique, le réalisateur saute d'intrigues en intrigues dans un scénario hyper confus où le spectateur se raccroche surtout à l'espoir de peut-être comprendre quelque chose sans jamais vraiment y parvenir. »
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Diner (Etrange Festival 2019)
Ninagawa Mika |
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« Une adaptation colorée et énergique d’un manga qui finit par lasser à force de diluer son intrigue et d’avoir recours à des effets de mise en scène vus et revus. »
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Le Serpent blanc (Etrange Festival 2019)
Amp Wong, Zhao Ji |
« La réponse à la question "comment adapter une légende ancestrale en 2019 ?" n'est bizarrement pas : une série de cinématiques de mauvais jeu vidéo beauf. »
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Shadow (Etrange Festival 2019)
Zhang Yimou |
« Retour en force pour Yimou, qui déroute d'abord par son approche très théâtrale puis s'enfonce dans une violence aussi noire que l'âme de ses personnages. »
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« Retour en force de Zhang Yimou avec ce beau film d'arts martiaux sur fond de faux-semblants et de stratégie. On se laisse emporter par cette partie d'échecs politique jouée à la pointe de l'épée, aux magnifiques visuels et à la dramaturgie dense mais assez fascinante. »
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« Zhang Yimou met son sens du pictural au service d’un récit médiéval à la beauté fulgurante mais handicapé par des effets usés jusqu’à la corde et une symbolique lourdingue. »
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« Zhang Yimou puise dans plusieurs influences de la culture chinoise (les estampes, Sun Tzu, les 3 Royaumes, les chorégraphies du cinéma HK) pour offrir un film généreux, et tout bonnement magnifique d'un point de vue esthétique. Le scénario est solide et bien servi par la mise en scène. »
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- : très bon
- : excellent
: chef-d'Oeuvre
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