Films | Captain Jim (Cinématraque) | Claire Lalaut | Flavien Poncet | Jonathan Deladerrière | Justin Kwedi | Elvire Rémand | Romain Leclercq | Maxime Bauer | Thibaut Das Neves | Victor Lopez |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Kill (en salles le 11/09/2024)
Nikhil Nagesh Bhat |
|
|
|
|
|
|
|
|
« Commençant comme une espèce de rom com détraquée, Kill glisse doucement mais sûrement du suspense haletant à la brutalité pure. Dans cet océan de violence et de noirceur se déploie un film ludique, jouissif et totalement décomplexé. Un véritable plaisir cathartique aussi fun que douloureux. »
|
|
Look Back (en salles le 18/09/2024)
Oshiyama Kiyotaka |
« Une merveille, un boost à toute envie créatrice. »
|
|
|
|
|
|
|
|
|
« Un récit assez touchant, porté par une mise en scène peut-être un peu trop conventionnelle. »
|
Le Léopard des neiges (en salles le 11/09/2024)
Pema Tseden |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
« Le regretté Pema Tseden offre une belle réflexion sur l'image en guise de prématuré dernier film.
»
|
Project Silence (en salles le 21/09/2024)
de Kim Tae-gon |
|
|
|
|
|
|
« Un pitch prometteur mais torpillé par une mise en scène indigente, incapable d’insuffler la moindre tension, auxquelles viennent s’ajouter un scénario stupide, une direction d’acteur effroyable et des effets visuels hideux. »
|
|
|
|
Anzu, chat-fantôme (en salles le 21/08/2024)
Kuno Yoko / Yamashita Nobuhiro |
|
|
|
|
« Un petit bijou à la fois profond et léger qui nous balade entre été rural languissant et l'au-delà bariolé dans un beau mélange de loufoquerie et de tendresse. »
|
|
« Un film qui, sous des allures de conte initiatique estival familial, se révèle terriblement émouvant en abordant le difficile sujet du deuil impossible chez l’enfant. »
|
|
« Adorable voyage au bout de l'enfer, Anzu, Chat-fantôme nous embarque dans une aventure Shinto-pop à l'humour pince-sans-rire ravageur. Loin du simple exercice de style (réussi haut la main par son aspect graphique si particulier), le film est une véritable petite odyssée sur le deuil et la mort à échelle humaine dans un monde rempli de démons et autres fantômes avides de Pachinko et de saké. »
|
|
Girls Will Be Girls (en salles le 21/08/2024)
Shuchi Talati |
|
|
|
|
« Magnifique coming of age sensible et sensuel qui sous l'éveil aux sens dissimule une poignant relation mère/fille. »
|
|
|
|
|
|
City of Darkness (en salles le 14/08/2024)
Soi Cheang |
« Soi Cheang prend le contre-pied de ce qu'on pourrait attendre d'un représentation de la cité de Kowloon, jamais effrayante mais au contraire véritable hommage aux vies réelles des pauvres et des immigrés (comme... le cinéaste) qui ont passé leurs vies là-bas. Même la baston s'éloigne de la brutalité urbaine et lorgne vers la noblesse du Wu Xia Pian. »
|
|
|
|
« Film d'action épique assurant sa licence poétique par ses combats lorgnant sur le comic book et sa vision de la citadelle de Kowloon comme un fantasme de communion et solidarité sociale. »
|
|
« Un film d’une facture technique remarquable et généreux dès qu’il s’agit d’envoyer les coups, mais plombé par un script prévisible de bout en bout, mais qui ne semble n’avoir retenu de l’âge d’or de HK que ses stars et ses pires clichés hard boiled. Mention peux mieux faire pour le traitement des personnages féminins. »
|
|
« City of Darkness agit comme un amusant western urbain, assez inoffensif mais dans le même temps complètement fou, sous influence du cinéma hongkongais des années 80 et 90. Une orgie de baston qui ne cesse d’être plus impressionnante que la précédente. »
|
« Soi Chan réactive un pur plaisir de cinéma, entre une nostalgie un peu creuse pour un cinéma disparu dont il ne frôle la richesse que par un formalisme éblouissant, et un humanisme qui hausse le film dans sa manière de filmer les habitants de la Citadelle de Kowloon. »
|
Full River Red (en salles le 31/07/2024)
Zhang Yimou |
« Sympathique propagande nationaliste (Zhang Yimou will Zhang Yimou), qui utilise magnifiquement son décor pour créer une nuit étouffante et claustrophobe. »
|
|
|
|
|
|
|
|
« Étrange film entre la farce outrancière et la propagande premier degré qui arrive à trouver un ton singulier malgré ses faiblesses rythmiques et scenaristiques. »
|
|
Santosh (en salles le 17/07/2024)
Sandhya Suri |
|
|
|
|
« Une captivante immersion par le prisme du polar au cœur des injustices sociales, de castes et de sexe de la société indienne. »
|
|
« Un polar qui a le mérite d’oser dresser un portrait peu flatteur de la société indienne actuelle, mais qui prend trop de temps avant de lancer son intrigue et qui finit par survoler des sujets pourtant passionnants. Restent une mise en scène remarquable et un très bon duo de comédiennes. »
|
|
|
|
Mad Fate (en salles le 17/07/2024)
Soi Cheang |
« Une proposition alléchante de part son énergie chaotique et criarde, qui hélas ne parvient jamais à former quelque chose de tout ce chaos. »
|
|
|
|
|
« Le film ayant tendance à ne pas trop savoir où nous amener, on ressort un peu déçu. »
|
|
« On reconnaît la patte Milkyway dans l'écriture de ces personnages noirs mais malgré tout hauts en couleur. Bien que cahoteuses, les péripéties sont généreuses et mènent à une belle conclusion. »
|
|
|
Only the River Flows (en salles le 10/07/2024)
Wei Shujun |
|
|
|
|
|
|
|
« Le polar chinois continue son chemin, et propose ici une conclusion assez acide. »
|
|
« Un déplacement subtil des attentes du spectateur de polars des années 90 pour une plongée dans la folie entre drame social et réflexion sur le devenir du cinéma et des images en Chine. »
|
Creation of the Gods I: Kingdom of Storm (en salles le 10/07/2024)
Wuershan |
« On sent que la volonté de faire du blockbuster bien universel, qui est pensé pour un public international, est très ancrée. Et ça fonctionne ! »
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
In Water (en salle le 26/06/2024)
Hong Sang-soo |
|
|
« Dans un flou quasi-continu, HSS fond ses personnages dans leur paysage, composant une ode intime à la nécessité de s'unir à son environnement et sur la confusion (plastique comme morale) de la jeunesse coréenne d'aujourd'hui. »
|
|
|
|
|
« Bien que la tonalité des films de HSS se fasse plus douce et moins torturée que par le passé, le minimalisme terne de In Water ne bouleverse pas la fadeur stylistique constante de son cinéma et ne convaincra pas plus ceux qui ont quitté le navire parmi ses spectateurs. »
|
|
« L'épure du cinéma de Hong Sang-soo se poursuit à travers une expérience envoûtante : on se laisse porter jusqu'au beau final qui interroge notre perception du récit et du film qui se fait sous nos yeux. »
|
Nomad (en salles le 19/06/2024)
de Patrick Tam |
« Chef d'œuvre absolu, fougueux et transi, mélancolique et novateur. »
|
|
« Par l'une des grandes figures de la nouvelle vague HK des 70s/80s, ce portrait en kaléidoscope d'une jeunesse trans-classes, désireuse d'échappées, offre un feu d'artifices de cinéma, généreux et multiples. Sensuel et profond. »
|
|
|
|
|
|
|
« Immense plaisir que celui de pouvoir enfin (re)découvrir ce jalon essentiel de la Nouvelle Vague hongkongaise sur grand écran. »
|
HAIKYU!! La Guerre des Poubelles (en salles le 12/06/2024)
Mitsunaka Susumu |
|
|
|
|
|
|
« La première partie du grand final d’Haikyuu qui ravira les fans du manga en adaptant la dernière ligne droite de l’œuvre, mais qui le fait en fonçant tête baissée, laissant craindre une deuxième partie incapable de décemment clôturer tous les arcs du manga. »
|
|
|
|
Tunnel to Summer (en salles le 05/06/2024)
Taguchi Tomohisa |
« C'est l'histoire d'un mec qui voulait vraiment pécho une milf. Et c'est bien ! »
|
|
|
|
« Postulat assez convenu qui a le malheur de venir après Shinkai, Obayashi, Iwai ou Hosoda, mais situations et personnages très touchants. »
|
|
« Un sujet fantastique en or et des thèmes passionnants comme le deuil impossible et la culpabilité, mais jamais exploités convenablement dans un film trop court ,et d’où peinent à émerger les émotions. Reste une facture technique tout a fait convenable dans la moyenne haute. »
|
« Une énième variation de Your Name. qui passe relativement bien et qui jouit d'une qualité d'animation correcte dont le style "anime" se révèle toujours plaisant. »
|
« Terriblement convenu. Les quelques bonnes idées de scénario sur la fin n’en font malheureusement pas plus qu’un divertissement de très moyenne facture. »
|
|
Greenhouse (en salles le 29/05/2024)
Lee Sol-hui |
|
|
|
|
« Une couche de noirceur finale qui alourdit inutilement le propos mais un puissant et éprouvant drame social. »
|
|
|
« En rajoutant des louches et des louches de drames sordides, le film finit par ne pas convaincre vraiment. »
|
|
« Un propos social malmené par une mécanique de thriller trop bien huilée pour sonner juste. »
|
L'Ombre du feu (en salles le 01/05/2024)
Tsukamoto Shinya |
« Claustrophobe et désespéré, Tsukamoto ne laisse son personnage (et nous) respirer que brièvement, dans ses derniers instants. Une œuvre singulière et surprenante à défaut d'être remarquable. »
|
|
|
|
« Une perte d'innocence jusqu'au boutiste pour un grand film de Tsukamoto. »
|
|
|
« Dans une forme d'intimité et de simplicité, Tsukamoto écrit avec vigueur sur le trauma de la guerre au Japon. »
|
« Dans un Japon post-apocalyptique, celui d’après-guerre aux alentours des zones touchées par la Bombe, Tsukamoto capte l’image manquante du Tombeau des Lucioles. Brillant et puissant. »
|
|
Un jeune Chaman (en salles le 24/04/2024)
Lkhagvadulam Purev-Ochir |
|
|
|
|
|
|
|
« Bien que ne s'éloignant pas de la traditionnelle intention de portraire la jeunesse urbaine d'un pays en mutation, Un jeune chaman propose quelques beaux moments vibrants d'une jeunesse qui frémit. Mention aux scènes de boites de nuit, pénultième dérivée de Millennium Mambo, mais toujours aussi plaisantes. »
|
|
|
Comme un lundi (en salles le 08/05/2024)
Takebayashi Ryo |
« Variation amusante du jour sans fin qui fonctionne parce qu'il est très (hélas) facile de se projeter... »
|
|
|
|
« Mise en boite ludique et inventive du culte du travail japonais, réussissant à faire du neuf avec le concept usé de boucle temporelle. »
|
|
« Une variation de la boucle temporelle aussi euphorique et drôle, sans aucune prétention que divertir sur le sujet de l’épuisement au travail japonais. »
|
« Joyeuse comédie aux personnages truculents, dont la façon de se moquer de l'aliénation provoquée par le monde du travail fait beaucoup de bien. »
|
« S’il ne renouvèle pas la forme (déjà un peu redondante) de la boucle temporelle filmique, Comme un lundi est une bonne comédie inoffensive qui arrachera forcément quelques rires. »
|
« C'est assez commun (lundi), mais ça reste plutôt sympathique. »
|
- : pas de note
- : mauvais
- : moyen
- : bon
- : très bon
- : excellent
- : chef-d'Oeuvre
Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.