| Films | Captain Jim (Cinématraque) | Claire Lalaut | Flavien Poncet | Jonathan Deladerrière | Justin Kwedi | Elvire Rémand | Romain Leclercq | Maxime Bauer | Thibaut Das Neves | Victor Lopez |
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Matsumoto Tribe (Kinotayo)
Ninomiya Ken |
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Raise Your Arms and Twist! Documentary of NMB48 (Kinotayo)
Funahashi Atsushi |
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Alley Cat (Kinotayo)
Sakaki Hideo |
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« Sympa de découvrir en 2017 du V-Cinéma dans la droite ligne de l'âge d'or des années 90 ! »
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The Long Excuse
Nishikawa Miwa |
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« La réalisatrice est trop fortement influencée par Kore-eda pour réussir à trouver son style. Mais si on enlève ce point, le reste est top : on est ému par cette histoire de pères désœuvrés et par les bouilles de ces enfants qui essayent tant bien que mal de continuer à vivre. »
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« L'un des meilleurs Kore-eda est signée par une jeune réalisatrice ! »
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Close-Knit (Kinotayo)
Ogigami Naoko |
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« L'intérêt du film tient davantage au sujet traité qu'à la réalisation. Mais les acteurs très touchants. Mignon. »
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« Un film gentillet et assez inoffensif sur la transsexualité, qui a plus le mérite de poser un regard sociologique progressiste sur l'évolution de la famille au Japon qu'un véritable regard cinématographique. »
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Rage (Kinotayo)
Lee Sang-il |
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« Un thriller qui cache en réalité une fine analyse de la société japonaise. La tension monte jusqu'à l'explosion d'une rage sans contrôle. Les Japonais feront-ils de même un jour ? Le temps nous le dira. »
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« Portrait en coupe du Japon qui a la rage (souvent à juste titre). D'une audace et d'une force impressionnante, surtout pour une production Toho à gros budget pleine de stars ! »
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The Tokyo Night Sky Is Always the Densest Shade of Blue (Kinotayo)
Ishii Yûya |
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« La ville de Tokyo est superbement filmée même si la mise en scène devient de moins en moins intéressante au fil du temps. Mais la réalisation ne parvient pas à faire oublier deux personnages quasi-insupportables dissertant sur la vie, la mort et enfonçant des portes ouvertes. »
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« De sublimes idées de mise en scène, qui s’essoufflent un peu sur la durée. »
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Side Job (Kinotayo)
Hiroki Ryuichi |
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« On s'ennuie et parfois, même, on dort. C'est dommage, le matériau de base pouvait donner quelque chose de vraiment bien. »
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« Quelques pistes inintéressantes, mais qui se perdent un peu dans la choralité du film. »
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Japanese Girls Never Die (Kinotayo)
Matsui Daigo |
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« Belle réflexion en kaléidoscope pop et inventif sur la place de la femme dans le Japon moderne. »
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« De belles idées de montage au service d'un discours féministe réjouissant qui emportent malgré quelques longueurs. »
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Perfect Revolution (Kinotayo)
Matsumoto Jumpei |
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« Le film est maladroit et passe même parfois à côté de son sujet mais l'intention est là et rend l'ensemble touchant. Mention spéciale à Lily Franky qui sauve le film d'une mini-catastrophe. »
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« Beaucoup de maladresses dans ce (presque) premier film touchant et sincère, porté par un très grand Lily Franky. »
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Oh Lucy ! (Kinotayo)
Hirayanagi Atsuko |
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« Sympathique variation japonaise du feel-good movie type Sundance. »
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Trace Of Breath (Kinotayo)
Komori Haruka |
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« Un personnage attachant et truculent au propos positif mais qui ne suffit pas à combler le manque de cinégénie et la répétitivité de l'ensemble. »
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« Un beau personnage, qui peine à tenir tout un documentaire. Et si peu de cinéma dans un film ne risque pas de laisser beaucoup de traces... »
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Merry Christmas Mr. Mo (FFCP 2017)
Lim Dae Hyung |
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« Une oeuvre intimiste, originale et pleine de charme feutré gentiment burlesque. »
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« Film mignon, drôle et assez touchant doté d'une mise en scène réussie (beau noir et blanc) mais qui aurait mérité d'être plus dynamique. »
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The Mimic (FFCP 2017)
Huh Jung |
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« Malgré 2 ou 3 effets sympathiques, The Mimic prouve une fois de plus que l'horreur et le cinéma coréen... c'est pas gagné ! »
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The Fortress (FFCP 2017)
Hwang Dong-hyeok |
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« Un casting de qualité, une belle réalisation, des scènes d'action réussies. Oui mais... 2h20 de dialogues imbitables. En gros, on s'ennuie beaucoup. »
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La Caméra de Claire (FFCP 2017)
Hong Sang-soo |
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« Parenthèse lumineuse chez Hong Sang-soo. Durée parfaite. Plus d'une heure, un film de Hong Sang-soo est rapidement indigeste. »
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« Un film qui donne vraiment la sensation d'être à Cannes... »
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Vanishing Time : A Boy Who Returned (FFCP 2017)
Um Tae-hwa |
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« Une romance surnaturelle originale et touchante, et à la poésie formelle envoûtante. »
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« Ca débute plutôt pas mal et puis ça finit mal. Et qu'est-ce que c'est long, mais long... »
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« De beaux passages de temps suspendus qui font qu'on ne nous vole pas complètement 2 heures, mais que c'est gnangnan (et que l'acteur adulte joue mal)... »
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The Seeds of Violence (FFCP 2017)
Lim Tae-gue |
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« Mieux vaut revoir Graine de Violence ! »
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State-authorized Textbook (FFCP 2017)
Baek Seung-woo |
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Itaewon (FFCP 2017)
Kangyu Ga-ram |
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- : pas de note
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- : bon
- : très bon
- : excellent
: chef-d'Oeuvre
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