Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Justin Kwedi Elvire Rémand Martin Debat Rohan Geslouin Romain Leclercq Maxime Bauer Victor Lopez
Tag (Kinotayo 2015)
Sono Sion
« Un trip fou entre odyssée mentale, jeu vidéo et voyage interdimensionnel. Une vraie mélancolie et émotion parvient à s'exprimer sous cet anarchie plus pensée qu'elle n'en a l'air. »
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Sous ses faux airs de jeux de massacre, Sono Sion livre un Shojo eiga réjouissant dont le sous texte lesbien cache un discours féministe anti otaku! »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
We Shall Overcome (Kinotayo 2015)
Chie Mikami
« Un passionnant et touchant documentaire en ces heures de COP21 sur les valeureux résistants locaux d'une île d'Okinawa à la défiguration de leurs paysage. »
« Un documentaire touchant sur un combat inégale des habitants d'Okinawa face à un gouvernement qui ignore leurs revendications. Un peu long, répétitif et destiné en priorité à sensibiliser le public nippon. »
« Un beau documentaire engagé, qui souffre d'un manque de recul de la réalisatrice face à son sujet. »
Fires On The Plain (Kinotayo 2015)
Tsukamoto Shinya
« Tsukamoto adapte le roman Nobi et livre un film terrifiant sur les horreurs de la guerre. On en sort pas indemne! »
« Un film fort et saisissant malgré une économie de moyens qui se ressent un peu. »
La La La at Rock Bottom (Kinotayo 2015)
Yamashita Nobuhiro
« Fumi Nikaido tient le film sur ses frêles épaules. Mais cela ne suffit malheureusement pas. On s'ennuie un peu. »
« Film construit autours de la star de la chanson Subaru Shibutani, Lalala, nouveau long métrage du cinéaste Nobuhiro Yamashita, grand habitué du festival Kinotayo, est un film qui ne manque ni de cœur, ni de voix. Une comédie entraînante qui rappelle le cinéma de Aki Kaurismaki avec la toujours géniale Fumi Nikaido qui donne la mesure. »
« On est dans du très conventionnel pour un film indé japonais... »
Kabukicho Love Hotel (Kinotayo 2015)
Ryuichi Hiroki
« Film qui aborde beaucoup de thèmes fort intéressants sans jamais réellement les développer, Kabukicho Love Hotel reste cependant agréable à regarder. »
« Un ancien réalisateur de pinku réalise une comédie douce amère sur les relations qu'entretiennent les Japonais contemporains avec leurs sexualité. Drôle, intelligent, souvent pertinent, parfois même subversif et ne tombant jamais dans le scabreux, Kabukicho Love Hotel est l'exemple même du bon petit film indé japonais. Si à cela vous rajouté un casting de dingue avec Sometani Shôta et Maeda Atsuko en tête, vous aurez une petite idée du plaisir qui vous attend ! »
« Pas mal pour un One-Night Stand ! »
Kakekomi (Kinotayo 2015)
Masato Harada
« Injustement boudé en France le cinéaste Harada Masato prouve une fois de plus qu'il figure parmi les cinéastes contemporains nippons les plus importants. Kakemoni est un superbe film féministe en costume ! »
« Un sujet passionnant gâché par un traitement au classicisme dégoulinant de sentimentalité. »
Midnight Diner (Kinotayo 2015)
Joji Matsuoka
« Une cuisine proprete mais sans grande saveur. »
Haman (Kinotayo 2015)
Okabe Tetsuya
« Eros et Thanatos ont encore frappé ! Mais sans budget ni idées, c'est mauvais. »
« Un film d'horreur qui manque de mordant ! Entre deux belles scènes pour le moins troublantes, le cinéaste à du mal à meubler son scénario. Une belle révélation tout de même, la jeune et talentueuse Baba Nonoka. »
« Une mise en place audacieuse rappelant les Cronenberg des années 70, mais le budget n'est pas à la hauteur de ces intentions et on glisse rapidement vers l'ennui et le ridicule. »
Le Garçon et la bête (Kinotayo 2015)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Après avoir atteint les sommets avec Les Enfants loups, le nouveau Hosoda déçoit. Ce nouvel opus s'avère en dépit d'une réalisation virtuose être le plus faible de ses œuvres en tant qu'auteur. Quelques très beaux moments ne suffisent pas à combler le manque d'implication émotionnelle dans ce conte initiatique un peu trop balisé. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma d’HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
The Virgin Psychics (PIFFF 2015)
Sono Sion
« C'est Sono Sion alors ça ne peut pas être foncièrement mauvais. Mais c'est totalement inutile. Comme quoi, réaliser 5 films par an, c'est peut-être un peu trop... »
« Un Sono Sion potache et érotomane. Un bon remède contre la morosité ambiante. Délirant mais mineur. »
« Sono Sion avait tout dit sur le sujet dans le formidable Tag. Une redite vulgaire, dans laquelle le cinéaste s'embrouille entre le cahier des charges de la commande et son propos, qui devient franchement pénible à suivre après 10 minutes amusantes... »
Right Now, Wrong Then (FFCP 2015)
Hong Sang-soo
« HSS réalise une fois de plus un exercice de style, ce qu'adorent les (anciens) étudiants en cinéma. Heureusement, les acteurs sont formidables. »
« Hong Sang-soo recycle ad nauseam sa recette de cinéma. Moi je suis parti au royaume des songes zzzzzzzz ! »
« Magnifique réflexion sur le cinéma, l'amour, l'hypocrisie des hommes et la lâcheté face à la vie, le tout dans un dispositif précis et intelligent, qui laisse une impression égale de maîtrise et de liberté. Hong Sang-soo à son meilleur ! »
My Ordinary Love Story (FFCP 2015)
LEE Kwon
« Une comédie romantique gentiment loufoque qui prend un virage inattendu dans le thriller. Original dans son traitement mais reste coincé le cul entre deux chaises. »
Someone Special (FFCP 2015)
JANG Jin
« Une comédie romantique de Jang Jing traversé par un sentiment de tristesse, et d'injustice, qui laisse place in fine à l'amour et l'allégresse. Plus classique dans son approche du genre Someone special séduit pour son habileté à contourner les codes. Sympathique ! »
The last dance with her (FFCP 2015)
Kim Eung-chun
« Une kitsherie heighties pas désagréable qui surprend par son dénouement tragique. Les modes passent, le mauvais goût demeure ! »
SPELLBOUND (FFCP 2015)
Hwang In-ho
« Quand le fantastique s'immisce dans une idylle amoureuse. Entre illusion de l'horreur et magie de l'amour, Spellbound trouve dans ce mélange des genres un équilibre savoureux. »
End Of Winter (FFCP 2015)
Kim Dae-hwan
« Un premier long métrage au parti pris risqué. Traiter l'implosion de la cellule familiale tout en non dit et sous entendus. A force de trop vouloir suggérer, le cinéaste passe malheureusement à côté de son sujet. »
My Dictator (FFCP 2015)
Lee Hae-jun
« Le réalisateur de Catsaway on the moon revient avec un comédie sur les liens filiaux entre un père et son fils. Le cinéaste explore de nouveau ses thèmes de prédilection sur l'exclusion, et l'isolement social et traite avec pertinence au travers de cette intime relation de l'Histoire de son pays. »
Assassination (FFCP 2015)
Choi Dong-hoon
« Un blockbuster impressionnant qui ne connaît aucun temps mort. Les 140 minutes passent à toute vitesse ! »
« Un film qui mérite amplement le succès colossal au box office locale. Choi Dong-hoon réalise un grand film d'aventures et d'action et parvient à éviter tout discours nationaliste, chose peu évidente étant donné le contexte historique du film. Un modèle du genre ! »
« Un spectacle historique enlevé et intelligent, qui cite Melville et le Western italien et n'oublie pas de construire de vrai personnages. Que demander de plus à un Blockbuster coréen ? »
A Midsummer's Fantasia (FFCP 2015)
Jang Kun-jae
« De beaux plans et de bons acteurs ne suffisent pas. Il faut aussi un scénario... »
« Une seconde partie charmante, malheureusement précédée de son laborieux et inutile making-off. À noter l'effet somnifère imparable du film, dont Elvire et Martin, roupillant tranquillement tout le long du film peuvent largement témoigner ! »
Scary House (FFCP 2015)
Yang Byeong-gan
« Un nanard volontaire, c'est un navet. »
« Un vrai canular, et faux nanar dont l'absurdité et le radical de sa mise en scène déclenche hilarité et consternation. Un film de fantôme en carton et une parabole pertinente sur la condition de la femme en Corée. Question de point de vue et d'humour. »
« Vous savez ce que l'on dit des plaisanteries ? Celle-ci dure 98 minutes !!! »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Justin Kwedi Elvire Rémand Martin Debat Rohan Geslouin Romain Leclercq Maxime Bauer Victor Lopez
Tag (Kinotayo 2015)
Sono Sion
« Un trip fou entre odyssée mentale, jeu vidéo et voyage interdimensionnel. Une vraie mélancolie et émotion parvient à s'exprimer sous cet anarchie plus pensée qu'elle n'en a l'air. »
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Sous ses faux airs de jeux de massacre, Sono Sion livre un Shojo eiga réjouissant dont le sous texte lesbien cache un discours féministe anti otaku! »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
We Shall Overcome (Kinotayo 2015)
Chie Mikami
« Un passionnant et touchant documentaire en ces heures de COP21 sur les valeureux résistants locaux d'une île d'Okinawa à la défiguration de leurs paysage. »
« Un documentaire touchant sur un combat inégale des habitants d'Okinawa face à un gouvernement qui ignore leurs revendications. Un peu long, répétitif et destiné en priorité à sensibiliser le public nippon. »
« Un beau documentaire engagé, qui souffre d'un manque de recul de la réalisatrice face à son sujet. »
Fires On The Plain (Kinotayo 2015)
Tsukamoto Shinya
« Tsukamoto adapte le roman Nobi et livre un film terrifiant sur les horreurs de la guerre. On en sort pas indemne! »
« Un film fort et saisissant malgré une économie de moyens qui se ressent un peu. »
La La La at Rock Bottom (Kinotayo 2015)
Yamashita Nobuhiro
« Fumi Nikaido tient le film sur ses frêles épaules. Mais cela ne suffit malheureusement pas. On s'ennuie un peu. »
« Film construit autours de la star de la chanson Subaru Shibutani, Lalala, nouveau long métrage du cinéaste Nobuhiro Yamashita, grand habitué du festival Kinotayo, est un film qui ne manque ni de cœur, ni de voix. Une comédie entraînante qui rappelle le cinéma de Aki Kaurismaki avec la toujours géniale Fumi Nikaido qui donne la mesure. »
« On est dans du très conventionnel pour un film indé japonais... »
Kabukicho Love Hotel (Kinotayo 2015)
Ryuichi Hiroki
« Film qui aborde beaucoup de thèmes fort intéressants sans jamais réellement les développer, Kabukicho Love Hotel reste cependant agréable à regarder. »
« Un ancien réalisateur de pinku réalise une comédie douce amère sur les relations qu'entretiennent les Japonais contemporains avec leurs sexualité. Drôle, intelligent, souvent pertinent, parfois même subversif et ne tombant jamais dans le scabreux, Kabukicho Love Hotel est l'exemple même du bon petit film indé japonais. Si à cela vous rajouté un casting de dingue avec Sometani Shôta et Maeda Atsuko en tête, vous aurez une petite idée du plaisir qui vous attend ! »
« Pas mal pour un One-Night Stand ! »
Kakekomi (Kinotayo 2015)
Masato Harada
« Injustement boudé en France le cinéaste Harada Masato prouve une fois de plus qu'il figure parmi les cinéastes contemporains nippons les plus importants. Kakemoni est un superbe film féministe en costume ! »
« Un sujet passionnant gâché par un traitement au classicisme dégoulinant de sentimentalité. »
Midnight Diner (Kinotayo 2015)
Joji Matsuoka
« Une cuisine proprete mais sans grande saveur. »
Haman (Kinotayo 2015)
Okabe Tetsuya
« Eros et Thanatos ont encore frappé ! Mais sans budget ni idées, c'est mauvais. »
« Un film d'horreur qui manque de mordant ! Entre deux belles scènes pour le moins troublantes, le cinéaste à du mal à meubler son scénario. Une belle révélation tout de même, la jeune et talentueuse Baba Nonoka. »
« Une mise en place audacieuse rappelant les Cronenberg des années 70, mais le budget n'est pas à la hauteur de ces intentions et on glisse rapidement vers l'ennui et le ridicule. »
Le Garçon et la bête (Kinotayo 2015)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Après avoir atteint les sommets avec Les Enfants loups, le nouveau Hosoda déçoit. Ce nouvel opus s'avère en dépit d'une réalisation virtuose être le plus faible de ses œuvres en tant qu'auteur. Quelques très beaux moments ne suffisent pas à combler le manque d'implication émotionnelle dans ce conte initiatique un peu trop balisé. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma d’HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
The Virgin Psychics (PIFFF 2015)
Sono Sion
« C'est Sono Sion alors ça ne peut pas être foncièrement mauvais. Mais c'est totalement inutile. Comme quoi, réaliser 5 films par an, c'est peut-être un peu trop... »
« Un Sono Sion potache et érotomane. Un bon remède contre la morosité ambiante. Délirant mais mineur. »
« Sono Sion avait tout dit sur le sujet dans le formidable Tag. Une redite vulgaire, dans laquelle le cinéaste s'embrouille entre le cahier des charges de la commande et son propos, qui devient franchement pénible à suivre après 10 minutes amusantes... »
Right Now, Wrong Then (FFCP 2015)
Hong Sang-soo
« HSS réalise une fois de plus un exercice de style, ce qu'adorent les (anciens) étudiants en cinéma. Heureusement, les acteurs sont formidables. »
« Hong Sang-soo recycle ad nauseam sa recette de cinéma. Moi je suis parti au royaume des songes zzzzzzzz ! »
« Magnifique réflexion sur le cinéma, l'amour, l'hypocrisie des hommes et la lâcheté face à la vie, le tout dans un dispositif précis et intelligent, qui laisse une impression égale de maîtrise et de liberté. Hong Sang-soo à son meilleur ! »
My Ordinary Love Story (FFCP 2015)
LEE Kwon
« Une comédie romantique gentiment loufoque qui prend un virage inattendu dans le thriller. Original dans son traitement mais reste coincé le cul entre deux chaises. »
Someone Special (FFCP 2015)
JANG Jin
« Une comédie romantique de Jang Jing traversé par un sentiment de tristesse, et d'injustice, qui laisse place in fine à l'amour et l'allégresse. Plus classique dans son approche du genre Someone special séduit pour son habileté à contourner les codes. Sympathique ! »
The last dance with her (FFCP 2015)
Kim Eung-chun
« Une kitsherie heighties pas désagréable qui surprend par son dénouement tragique. Les modes passent, le mauvais goût demeure ! »
SPELLBOUND (FFCP 2015)
Hwang In-ho
« Quand le fantastique s'immisce dans une idylle amoureuse. Entre illusion de l'horreur et magie de l'amour, Spellbound trouve dans ce mélange des genres un équilibre savoureux. »
End Of Winter (FFCP 2015)
Kim Dae-hwan
« Un premier long métrage au parti pris risqué. Traiter l'implosion de la cellule familiale tout en non dit et sous entendus. A force de trop vouloir suggérer, le cinéaste passe malheureusement à côté de son sujet. »
My Dictator (FFCP 2015)
Lee Hae-jun
« Le réalisateur de Catsaway on the moon revient avec un comédie sur les liens filiaux entre un père et son fils. Le cinéaste explore de nouveau ses thèmes de prédilection sur l'exclusion, et l'isolement social et traite avec pertinence au travers de cette intime relation de l'Histoire de son pays. »
Assassination (FFCP 2015)
Choi Dong-hoon
« Un blockbuster impressionnant qui ne connaît aucun temps mort. Les 140 minutes passent à toute vitesse ! »
« Un film qui mérite amplement le succès colossal au box office locale. Choi Dong-hoon réalise un grand film d'aventures et d'action et parvient à éviter tout discours nationaliste, chose peu évidente étant donné le contexte historique du film. Un modèle du genre ! »
« Un spectacle historique enlevé et intelligent, qui cite Melville et le Western italien et n'oublie pas de construire de vrai personnages. Que demander de plus à un Blockbuster coréen ? »
A Midsummer's Fantasia (FFCP 2015)
Jang Kun-jae
« De beaux plans et de bons acteurs ne suffisent pas. Il faut aussi un scénario... »
« Une seconde partie charmante, malheureusement précédée de son laborieux et inutile making-off. À noter l'effet somnifère imparable du film, dont Elvire et Martin, roupillant tranquillement tout le long du film peuvent largement témoigner ! »
Scary House (FFCP 2015)
Yang Byeong-gan
« Un nanard volontaire, c'est un navet. »
« Un vrai canular, et faux nanar dont l'absurdité et le radical de sa mise en scène déclenche hilarité et consternation. Un film de fantôme en carton et une parabole pertinente sur la condition de la femme en Corée. Question de point de vue et d'humour. »
« Vous savez ce que l'on dit des plaisanteries ? Celle-ci dure 98 minutes !!! »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Tableau des Etoiles

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Justin Kwedi Elvire Rémand Martin Debat Rohan Geslouin Romain Leclercq Maxime Bauer Victor Lopez
Tag (Kinotayo 2015)
Sono Sion
« Un trip fou entre odyssée mentale, jeu vidéo et voyage interdimensionnel. Une vraie mélancolie et émotion parvient à s'exprimer sous cet anarchie plus pensée qu'elle n'en a l'air. »
« La réalisation est quasi-parfaite, la folie toujours présente. Mais l'impression de voir une accumulation de sketches gâche un peu le plaisir. »
« Sous ses faux airs de jeux de massacre, Sono Sion livre un Shojo eiga réjouissant dont le sous texte lesbien cache un discours féministe anti otaku! »
« Thématiquement au niveau des meilleurs films de Oshii Mamoru, avec la touche de folie de Sono Sion en plus ! »
We Shall Overcome (Kinotayo 2015)
Chie Mikami
« Un passionnant et touchant documentaire en ces heures de COP21 sur les valeureux résistants locaux d'une île d'Okinawa à la défiguration de leurs paysage. »
« Un documentaire touchant sur un combat inégale des habitants d'Okinawa face à un gouvernement qui ignore leurs revendications. Un peu long, répétitif et destiné en priorité à sensibiliser le public nippon. »
« Un beau documentaire engagé, qui souffre d'un manque de recul de la réalisatrice face à son sujet. »
Fires On The Plain (Kinotayo 2015)
Tsukamoto Shinya
« Tsukamoto adapte le roman Nobi et livre un film terrifiant sur les horreurs de la guerre. On en sort pas indemne! »
« Un film fort et saisissant malgré une économie de moyens qui se ressent un peu. »
La La La at Rock Bottom (Kinotayo 2015)
Yamashita Nobuhiro
« Fumi Nikaido tient le film sur ses frêles épaules. Mais cela ne suffit malheureusement pas. On s'ennuie un peu. »
« Film construit autours de la star de la chanson Subaru Shibutani, Lalala, nouveau long métrage du cinéaste Nobuhiro Yamashita, grand habitué du festival Kinotayo, est un film qui ne manque ni de cœur, ni de voix. Une comédie entraînante qui rappelle le cinéma de Aki Kaurismaki avec la toujours géniale Fumi Nikaido qui donne la mesure. »
« On est dans du très conventionnel pour un film indé japonais... »
Kabukicho Love Hotel (Kinotayo 2015)
Ryuichi Hiroki
« Film qui aborde beaucoup de thèmes fort intéressants sans jamais réellement les développer, Kabukicho Love Hotel reste cependant agréable à regarder. »
« Un ancien réalisateur de pinku réalise une comédie douce amère sur les relations qu'entretiennent les Japonais contemporains avec leurs sexualité. Drôle, intelligent, souvent pertinent, parfois même subversif et ne tombant jamais dans le scabreux, Kabukicho Love Hotel est l'exemple même du bon petit film indé japonais. Si à cela vous rajouté un casting de dingue avec Sometani Shôta et Maeda Atsuko en tête, vous aurez une petite idée du plaisir qui vous attend ! »
« Pas mal pour un One-Night Stand ! »
Kakekomi (Kinotayo 2015)
Masato Harada
« Injustement boudé en France le cinéaste Harada Masato prouve une fois de plus qu'il figure parmi les cinéastes contemporains nippons les plus importants. Kakemoni est un superbe film féministe en costume ! »
« Un sujet passionnant gâché par un traitement au classicisme dégoulinant de sentimentalité. »
Midnight Diner (Kinotayo 2015)
Joji Matsuoka
« Une cuisine proprete mais sans grande saveur. »
Haman (Kinotayo 2015)
Okabe Tetsuya
« Eros et Thanatos ont encore frappé ! Mais sans budget ni idées, c'est mauvais. »
« Un film d'horreur qui manque de mordant ! Entre deux belles scènes pour le moins troublantes, le cinéaste à du mal à meubler son scénario. Une belle révélation tout de même, la jeune et talentueuse Baba Nonoka. »
« Une mise en place audacieuse rappelant les Cronenberg des années 70, mais le budget n'est pas à la hauteur de ces intentions et on glisse rapidement vers l'ennui et le ridicule. »
Le Garçon et la bête (Kinotayo 2015)
Hosoda Mamoru
« Hosoda entremêle les questionnement autour de la famille à un foisonnant univers mythologique et fantastique pour un de ses meilleurs films. »
« Hosoda livre une œuvre extraordinaire ou deux mondes s'entrecroisent et se mêlent. Des moments de bravoure, de beauté, de mélancolie superbement mis en scène. »
« Après avoir atteint les sommets avec Les Enfants loups, le nouveau Hosoda déçoit. Ce nouvel opus s'avère en dépit d'une réalisation virtuose être le plus faible de ses œuvres en tant qu'auteur. Quelques très beaux moments ne suffisent pas à combler le manque d'implication émotionnelle dans ce conte initiatique un peu trop balisé. »
« Une réussite formelle doublée d’une richesse thématique incroyable, Le Garçon et la bête réconcilie toutes les facettes du cinéma d’HOSODA, en plus d’être son film le plus accessible. »
The Virgin Psychics (PIFFF 2015)
Sono Sion
« C'est Sono Sion alors ça ne peut pas être foncièrement mauvais. Mais c'est totalement inutile. Comme quoi, réaliser 5 films par an, c'est peut-être un peu trop... »
« Un Sono Sion potache et érotomane. Un bon remède contre la morosité ambiante. Délirant mais mineur. »
« Sono Sion avait tout dit sur le sujet dans le formidable Tag. Une redite vulgaire, dans laquelle le cinéaste s'embrouille entre le cahier des charges de la commande et son propos, qui devient franchement pénible à suivre après 10 minutes amusantes... »
Right Now, Wrong Then (FFCP 2015)
Hong Sang-soo
« HSS réalise une fois de plus un exercice de style, ce qu'adorent les (anciens) étudiants en cinéma. Heureusement, les acteurs sont formidables. »
« Hong Sang-soo recycle ad nauseam sa recette de cinéma. Moi je suis parti au royaume des songes zzzzzzzz ! »
« Magnifique réflexion sur le cinéma, l'amour, l'hypocrisie des hommes et la lâcheté face à la vie, le tout dans un dispositif précis et intelligent, qui laisse une impression égale de maîtrise et de liberté. Hong Sang-soo à son meilleur ! »
My Ordinary Love Story (FFCP 2015)
LEE Kwon
« Une comédie romantique gentiment loufoque qui prend un virage inattendu dans le thriller. Original dans son traitement mais reste coincé le cul entre deux chaises. »
Someone Special (FFCP 2015)
JANG Jin
« Une comédie romantique de Jang Jing traversé par un sentiment de tristesse, et d'injustice, qui laisse place in fine à l'amour et l'allégresse. Plus classique dans son approche du genre Someone special séduit pour son habileté à contourner les codes. Sympathique ! »
The last dance with her (FFCP 2015)
Kim Eung-chun
« Une kitsherie heighties pas désagréable qui surprend par son dénouement tragique. Les modes passent, le mauvais goût demeure ! »
SPELLBOUND (FFCP 2015)
Hwang In-ho
« Quand le fantastique s'immisce dans une idylle amoureuse. Entre illusion de l'horreur et magie de l'amour, Spellbound trouve dans ce mélange des genres un équilibre savoureux. »
End Of Winter (FFCP 2015)
Kim Dae-hwan
« Un premier long métrage au parti pris risqué. Traiter l'implosion de la cellule familiale tout en non dit et sous entendus. A force de trop vouloir suggérer, le cinéaste passe malheureusement à côté de son sujet. »
My Dictator (FFCP 2015)
Lee Hae-jun
« Le réalisateur de Catsaway on the moon revient avec un comédie sur les liens filiaux entre un père et son fils. Le cinéaste explore de nouveau ses thèmes de prédilection sur l'exclusion, et l'isolement social et traite avec pertinence au travers de cette intime relation de l'Histoire de son pays. »
Assassination (FFCP 2015)
Choi Dong-hoon
« Un blockbuster impressionnant qui ne connaît aucun temps mort. Les 140 minutes passent à toute vitesse ! »
« Un film qui mérite amplement le succès colossal au box office locale. Choi Dong-hoon réalise un grand film d'aventures et d'action et parvient à éviter tout discours nationaliste, chose peu évidente étant donné le contexte historique du film. Un modèle du genre ! »
« Un spectacle historique enlevé et intelligent, qui cite Melville et le Western italien et n'oublie pas de construire de vrai personnages. Que demander de plus à un Blockbuster coréen ? »
A Midsummer's Fantasia (FFCP 2015)
Jang Kun-jae
« De beaux plans et de bons acteurs ne suffisent pas. Il faut aussi un scénario... »
« Une seconde partie charmante, malheureusement précédée de son laborieux et inutile making-off. À noter l'effet somnifère imparable du film, dont Elvire et Martin, roupillant tranquillement tout le long du film peuvent largement témoigner ! »
Scary House (FFCP 2015)
Yang Byeong-gan
« Un nanard volontaire, c'est un navet. »
« Un vrai canular, et faux nanar dont l'absurdité et le radical de sa mise en scène déclenche hilarité et consternation. Un film de fantôme en carton et une parabole pertinente sur la condition de la femme en Corée. Question de point de vue et d'humour. »
« Vous savez ce que l'on dit des plaisanteries ? Celle-ci dure 98 minutes !!! »
  • : pas de note
  • : mauvais
  • : moyen
  • : bon
  • : très bon
  • : excellent
  • : chef-d'Oeuvre

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.