La sortie en salles de l'original de King Hu (Dragon Inn (1967), à découvrir depuis le 12/08 sur les écrans) est l'occasion de revenir sur l'étourdissant remake produit par Tsui Hark en 1992 : L'Auberge du Dragon de Raymond Lee.
À l’occasion de la sortie le mercredi 15 juillet de A Touch Of Zen, le chef-d'oeuvre de King Hu, en version restaurée 4K , East Asia et Carlotta vous offrent 10 invitations et 10 sacs collector pour découvrir le film en salles !
Après Detective Dee , des nouvelles du prochain Tsui Hark avant sa sortie en décembre à Hong-Kong avec un petit reportage montrant des images du tournage et une première bande-annonce. De quoi saliver en attendant ce remake de Dragon Gate Inn de King Hu. Encore ? Oui, mais cette fois-ci, Flying Swords Of Dragon Gate sera en 3D ! Et comme le projet scelle les retrouvailles de Jet Li et Tsui, il y a de quoi être alléché ! Par Victor Lopez.
Après un cycle Stanley Kwan et avant la ressortie en salle de Nomad de Patrick Tam, Carlotta poursuit son exploration du cinéma d'Asie du Nord-Est, en délaissant les romances hongkongaises pour proposer la sortie pour la première en BR d'un fleuron du film de sabre taïwanais, le méconnu La Vengeance du dragon noir (1968). Phénomène en queue de comète d'une industrie mise sous la coupe du pouvoir de Chiang Kaï-shek dans les années 50, ce wu xia pian de Joseph Kuo (33 ans) témoigne de la faculté du Taïwan d'alors de se nourrir des esthétiques occidentales, plus encore que ses homologues japonais ou sud-coréens. Mais en quoi cet incunable d'un cinéma taïwanais alors émergent n'est pas un film de sabre de plus ? L'édition vidéo de sa version restaurée (complété de suppléments d'appoint), permet de voir ce qu’il en est, 56 ans après.
Après un cycle Stanley Kwan et avant la ressortie de Nomad de Patrick Tam, Carlotta poursuit son exploration du cinéma d'Asie du Nord-Est, en délaissant les romances hongkongaises pour proposer la ressortie d'un fleuron du film de sabre taïwanais, le méconnu La Vengeance du dragon noir (1968). Phénomène en queue de comète d'une industrie mise sous la coupe du pouvoir de Chiang Kaï-shek dans les années 50, ce wu xia pian du jeune Joseph Kuo (signant son 2ème long-métrage officiel à 33 ans seulement) témoigne de la faculté du Taïwan d'alors de se nourrir des esthétiques occidentales, plus encore que ses homologues japonais ou sud-coréens. Mais en quoi cet incunable d'un cinéma taïwanais alors émergent n'est pas un film de sabre de plus ?
Le Forum des images va porter haut les couleurs de la ville au port parfumé. Du 03 avril au 07 juillet 2024, le lieu accueille une rétrospective du cinéma de Hong Kong en 100 séances, composée d’œuvres de patrimoine et de films culte.