On me demande parfois à quoi je carbure pour tenir mon frénétique rythme de visionnage, mes nombreux déplacements et la multiplication de mes activités…Bah, à la passion, pardi…à ma passion pour le cinéma et pour le cinéma asiatique plus spécifiquement. Le cinéma asiatique est ma came, celui qui tient tous mes sens en éveil, me fait passer moultes nuits blanches et finira par avoir ma peau, ça c'est sûr. Par Bastian Meiresonne.
La World Cinema Fondation parrainée par Martin Scorcese tente de mettre en lumière et de sauvegarder bon nombre de films presque oubliés, en voie de disparition. Dans le magnifique coffret édité par Carlotta paru au mois d’avril, un film nous intéresse : La flûte de roseau, troisième film du réalisateur kazakh, Ermek Shinarbaev. Par Jérémy Coifman.
Pendant que les uns se passionneront pour la vie en allant voter, d'autres vivront leur passion en votant d'aller… à Udine, haut lieu du spritz, des pizz' et de l'Asie dans tous états. Par Bastian Meiresone.
Invité d’honneur lors de la 5ème édition du FFCF en 2010, Ryoo Seung-wan est un jeune réalisateur, dont le film Die Bad fut considéré en Corée comme le premier long métrage le plus remarquable de l’histoire du cinéma coréen (rien que ça !). En 2000, il montrait avec ce film, son point de vue brutal sur le monde du début du 21ème siècle dans lequel coexistait la joie du nouveau millénaire et l’anxiété de la crise économique. Par la suite, quelques films comme No Blood No Tears ou encore The City of Violence ont suffi pour lui coller une étiquette de réalisateur de films d’action. Mais le cinéaste nous a également prouvé qu’il avait plusieurs cordes à son arc, notamment en matière de comédies loufoques, puisqu’avec son Crazy Lee en 2008, il nous gratifie d’un Austin Powers à la sauce coréenne, en bien plus barré. Avec un background comme celui-ci, il va sans dire que son dernier film, The Unjust était plus qu’attendu par votre humble serviteur… Par Olivier Smach.
Si le talent ne se transmet pas par l'hérédité (Lamberto Bava aurait eu une carrière bien différente, si cela avait été le cas), poser les yeux sur un film avec à son casting le fils de Steven Seagal ne peut que donner envie ! Et quand à ses côtés se trouve le très poseur Sakaguchi Tak, l'amateur de bisserie décomplexée ne peut qu'être aux anges ! Par Yannik Vanesse
Pour terminer notre tour d'horizon de l'excellent "Regard sur cinéma du Kazakhstan : 1938 – 2011", organisé lors de l'édition 2012 du FICA de Vesoul, retour sur la sélection, film par film.