Au menu du jour, Andy Lau s’en met plein la panse pendant que le cinéma indien nous offre des petits films à emporter et que la Quinzaine aurait pu nous transformer en cannibale, mais on lui préfère un mini fallafel.
Après Drug War, polar primé au festival de Beaune, Johnnie To s’octroie une parenthèse légère dont il a le secret.
Une fois n’est pas coutume, je commencerai en citant Victor Lopez, qui me disait : « Non, Shield of Straw n’est pas un nanar (Le Figaro), non ce n’est pas un navet (Le Passeur Critique), c’est juste un film impossible à juger correctement selon les standards cannois. »
Après un petit détour par la télévision (Going My Home, dont on reparlera bientôt), Kore-Eda s’invite à Cannes avec Like Father, Like Son.
Quatre films viennent aujourd’hui interroger la place de l’enfance et le rapport des images à l’histoire : l’inégal Bends de Flora Lau, le touchant Like Father, Like Son de Kore-eda, le plombant Death March de Adolfo Alix Jr et l’indispensable L’Image manquante de Rithy Panh. Comme quoi, on ne fait pas toujours la fête à Cannes. […]
Ça y est, notre festival est lancé pour de bon. Il était temps, après nos déboires d’hier , d’enfin voir des films, sans déconvenue aucune et avec un soleil qui pointait le bout de son nez aux aurores (il ne sera pas resté longtemps cependant). Par Jérémy Coifman. Partager Suivre