Après cinq ans d'absence, Eric Khoo nous livre son nouveau long-métrage Hotel Singapura, en salles mercredi 24 août. Lors d'une interview, le réalisateur nous a laissé les clés de la chambre d'hôtel pour nous livrer quelques secrets sur son tout nouveau film.
Eric Khoo, cinéaste phare de Singapour, nous offre un huitième long-métrage somme. Il revient sur l’histoire de son pays, l’évolution de la sexualité, de l’amour, et sa propre filmographie à travers Hotel Singapura. Tout cela sans sortir d’une chambre d’hôtel.
Alors que Dernier train pour Busan secouait la Croisette en mai dernier lors la séance de minuit, nous avons pu nous entretenir avec son réalisateur, Yeon Sang-ho. Cela tombe bien puisque le film vient de sortir en salles et mérite le détour !
Un film coréen avec des zombies ? Eh bien oui, cela existe ! Dernier train pour Busan, la nouvelle réalisation de Yeon Sang-ho, a d'ailleurs explosé le box-office coréen. Le succès critique est également au rendez-vous puisque, d'abord projeté en séance de minuit au Festival de Cannes 2016, le film est également reparti du Fantasia Film Festival, le plus important festival de films de genre d'Amérique du Nord, avec deux prix. Malgré quelques réserves, on ne peut que vous conseiller d'aller voir le film, ne serait-ce que pour soutenir le cinéma coréen !
Inutile de présenter Hou Hsiao Hsien (HHH pour les intimes) si ce n’est de confirmer haut la main que ce cinéaste chinois (peut-être le plus grand, celui qu’il fallait depuis longtemps) a et sera toujours l’un des fils conducteurs de notre site : un cinéma qui nous heurte, sensibilise, un cinéma qui substitue nos désirs à des rêves entre enfance et découverte de l’âge adulte. Retour sur la rétrospéctive proposée par Carlotta avec 5 oeuvres de jeunesse du maitre en salles à partir du 3 août : Cute Girl (1980) ; Green, Green Grass of Home (1982) ; Les Garçons de Fengkuei (1983) ; Un temps pour vivre, un temps pour mourir (1985) ; Poussières dans le vent (1986).
À l'occasion du cinquantenaire de la mort du cinéaste, la salle Cinemavera, à Tôkyô, a consacré une rétrospective à Hiroshi Shimizu, un réalisateur encore trop peu connu en France et qui a pourtant joué aux côtés d'Ozu et Mizoguchi un rôle important dans le cinéma japonais.