Vous souhaitez visionner des films films et originaux sortant des sentiers battus ? Outbuster est la solution ! East Asia vous propose un focus sur les films asiatiques disponibles en VoD sur le site ! Aujourd'hui, retour sur l'un des meilleurs Sono Sion, soit l'un des meilleurs films de ces dernières années : Cold Fish.
Alors que le cinéaste est célébré au Festival Lumière de Lyon, cinq films de Wong Kar-wai sont sortis en salles le mercredi 18 octobre en version restaurée : Nos années sauvages (1990), Les Cendres du temps (1994), le diptyque Chungking Express (1994) / Les Anges déchus (1995) et Happy Together (1997). L'occasion idéale de se replonger dans la révolution Wong kar-wai en revoyant In The Mood For Love.
Alors que le cinéaste est célébré au Festival Lumière de Lyon, cinq films de Wong Kar-wai sont sortis en salles le mercredi 18 octobre en version restaurée : Nos années sauvages (1990), Les Cendres du temps (1994), le diptyque Chungking Express (1994) / Les Anges déchus (1995) et Happy Together (1997). l'occasion idéale de se replonger dans la révolution Wong kar-wai en revoyant 2046.
Du 12 au 15 octobre, s'est tenu au Japon le Kyoto International Film and Art Festival, un événement spécialisé dans toutes formes d’art, qu’il soit contemporain ou non. La projection de Karanukan de Hamano Yasuhiro, était l'occasion de revenir sur notre interview avec Gackt, qui effectuait son grand retour au cinéma avec ce rôle de photographe se ressourçant dans son île natale d'Okinawa après 14 ans d'absence sur les écrans. Rencontre avec la légende !
S'il est impossible de voir Okja sur grands écrans en France, ce n'est pas le cas au Japon, puisque le Kyoto International Film and Art Festival qui s'est tenu du 12 au 15 octobre au Japon, a programmé le film de Bong Joon-ho. L'occasion de revenir sur une oeuvre majeure de l'année.
Elle fut la grande révélation de l'année cinématographique coréenne 2016. Son premier long métrage The World of Us, a reçu en Asie une moisson de récompenses. Yoon Ga-eun, lors sa présentation au FFCP, a enchanté les spectateurs grâce à la justesse de son regard sur l'enfance. Une réalité racontée sans ambages, ni artifices, mais filmée avec une bienveillance sincère pour ses jeunes personnages. Nous avons pu découvrir au cours de son portrait l'éclosion d'une jeune cinéaste, talentueuse et prometteuse, qui au fil de ses courts métrages jusqu'à son premier long, a fait preuve d'un regard singulier et d'un don particulier pour diriger ses acteurs précoces. Le FFCP a de nouveau souligné dans sa programmation l'émergence et l'importance de femmes cinéastes, qui au sein d'un pays et d'une industrie patriarcaux, parviennent à monter des films personnels qui montrent la société coréenne sous un autre jour. Yoon Ga-eun a quant à elle le profil de la jeune auteure susceptible de séduire le grand public. Espérons que les distributeurs français auront suffisamment de flair et de courage pour la révéler. Nous avons eu la chance de nous entretenir avec elle.