Oh Lucy!, notre coup de cœur issu de la sélection cannoise de La Semaine de la critique, de la jeune réalisatrice japonaise Hirayanagi Atsuko, est à redécouvrir à Kinotayo avant d'arriver en salles début 2018. Co-produit avec les Etats-Unis, le film a été tourné entre Tokyo et Los Angeles. Adaptant son propre court-métrage éponyme, Hirayanagi Atsuko signe ici son premier long-métrage, avec une refonte totale du casting, beaucoup plus prestigieux, et une ambition revue à la hausse.
La Semaine de la Critique est un peu le laboratoire de Cannes, la sélection d’où émergent les talents de demain. C’est là que l’on a pu découvrir cette année Oh Lucy!, le premier long-métrage de la cinéaste japonaise Hirayanagi Atsuko, tourné entre le Japon et les Etats-Unis avec un casting international, réunissant Terajima Shinobu et… Josh Hartnett ! Rencontre avec la réalisatrice alors que son film est présentée à la 12ème édition du Festival du cinéma japonais contemporain Kinotayo en attendant sa sortie dans les salles françaises début 2018.
Gros succès en salles en août dernier lors de sa sortie en Corée du Sud, le troisième long-métrage de Kim Joo-hwan, Midnight Runners, présenté dans la section "Evènements" du Festival du Film Coréen à Paris, a fait souffler un vent de fraîcheur au sein d'une sélection hétéroclite.
A l'occasion de la projection de son quatrième film au Festival du Film Coréen à Paris (FFCP), A Taxi Driver, nous avons eu la chance de nous entretenir avec le réalisateur qui règne sur le box-office coréen de cette année, Jang Hoon.
Il y a deux ans, nous découvrions, au Festival du Film Coréen à Paris (FFCP), Veteran qui nous exposait, comme une évidence, le génie de Ryoo Seung-wan. Cette année, le festival projetait en avant-première The Battleship Island, l’aboutissement de sa carrière, son manifeste, son œuvre somme et probablement son chef-d’œuvre.
Le Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) met toujours un point d'honneur à présenter quelques films documentaires, parfois étonnants. C'est le cas de No Money, No Future qui s’inscrit dans la lignée de ces objets que la musique peut offrir au cinéma, et plus précisément la musique underground. Des objets bruts, polymorphes mais d’une énergie folle.