Le réalisateur indien Qaushiq Mukerjee (Gandu), autrement appelé Q, passera devant la caméra pour interpréter le célèbre cinéaste Satyajit Ray.
La réalisatrice française d'origine iranienne Marjane Satrapi adaptera bientôt un roman français en langue anglaise. C'est ce qu'on appelle de l'internationalisation !
Et voilà notre premier week-end cannois terminé. Sous un soleil de plomb, au milieu des festivaliers massivement rassemblés autour et dans le Palais, on a essayé tant bien que mal d'accéder aux séances espérées, avec plus ou moins de réussite. Si bien qu'au bout de deux jours, je n'ai toujours pas vu le moindre film asiatique. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir essayé, puisque j'ai parcouru les couloirs du Marché du Film pour tenter de visionner la suite de très bon SPL, le nouveau Sono Sion, TAG, ou encore le dernier film du coréen Ryoo Seung-wan, Veteran. Malheureusement, ce fut à chaque fois couronné d'un échec, avec en guise de réponse, les deux mots anglais les plus énervants de la langue anglaise : "Buyers Only". Je me suis donc rabattu sur les films de la Compétition, là où mon badge me permet un peu plus de latitude.
Chaque année, les cinéphiles parisiens (désolée pour les autres !) déçus de ne pas s'être rendus à Cannes peuvent se rattraper à domicile grâce à la reprise de la programmation dans plusieurs cinémas de la capitale.
Le réalisateur hongkongais Peter Chan a de la suite dans les idées. Après avoir cartonné en 2007 avec Les Seigneurs de la guerre, il a réalisé des films à gros succès en Chine (mais peu connus en Europe). Désormais, il revient avec un biopic, celui d'une tenniswoman chinoise.
Les chanceux de Cannes auront certainement déjà vu le dernier bijou d'Apichatpong Weerasethakul, Cemetery of Splendour. Mais nous, on devra se contenter du trailer (pour l'instant) !