On vous en parle depuis un moment : la suite de Tigre et Dragon, Crouching Tiger, Hidden Dragon: Sword of Destiny se précise enfin pour sa sortie dans certaines salles IMAX et surtout sur Netflix le 26 février 2016.
Les éditions KMBO proposent la collection Mon Premier Cinéma, la collection DVD pour les petits. Au programme de ces belles éditions, on trouve l'etonnant Les petits Canards de papier, film d’animation chinois de 1961 des Studios Shanghai. C'est le DVD de ce dernier que nous vous proposons de gagner ici !
Comme le disait Georges Méliès, « ce n’est peut-être pas un hasard si image est anagramme de magie ». Le Forum des images vous démontrera cela, du 9 décembre au 10 janvier, à travers une sélection de plusieurs dizaines de films. Et on pourra y retrouver quatre films asiatiques !
Fort de ses 4 millions d'entrées au Japon depuis sa sortie en Juillet 2015, le nouveau film signé Hosoda Mamoru a ouvert l'édition annuelle du festival Kinotayo. Celui que l'on présente comme "l'héritier de Miyazaki" confirme, avec Le Garçon et la Bête, qu'il est devenu l'un des réalisateurs majeurs du cinéma d'animation. Et surtout un réalisateur à part.
Kabukicho Love Hotel fait partie de ces petits films que l'on attendait avec impatience de découvrir en salles. Présenté à Toronto en 2014, le long métrage était arrivé trop tard pour intégrer la sélection de la précédente édition de Kinotayo. Le film de Hiroki Ryuichi a tout de même eu le temps de se faire une belle petite réputation dans les divers festivals où il fut sélectionné avant d'arriver chez nous en guise de cadeau de Noël. Clignotant tel un néon au milieu des centaines de films indépendants nippons, nous avons pénétré dans l'antre de ces lieux, alléchés par les promesses d'un bon divertissement et de la qualité de sa réjouissante distribution d'acteurs et d'actrices.
Rencontre avec Narita Naoyo, le producteur de Kabukicho Love Hotel, l'une des belles surprises de Kinotayo 2015 (lire notre critique ici). Une longue interview au cours de laquelle il revient sur son rapport avec le réalisateur Hiroki Ryuichi, sa carrière dans le pinku eiga, son amour pour l'érotisme, ses acteurs dont Atsuko Maeda et d'une manière générale sur sa vision de la sexualité dans le Japon d'aujourd'hui.