Prochainement, le film d'horreur indonésien Death Whisper fera son apparition. Remake d'un film d'horreur coréen, on découvre son trailer !
Nakata Hideo ne s'arrête plus ! Alors qu'on a découvert les premiers trailers de Sadako, qui sortira en salles le 24 mai, on apprend qu'un autre film du réalisateur de Ring débarquera le 12 avril. L'horreur est également au programme de Satsujinki wo Kauonna !
A l'occasion de la rétrospective 100 ans de cinéma japonais qui se tient à La Cinémathèque française et à la MCJP, nous avons pu rencontrer l'acteur Yakusho Kōji (The Third Murder), qui nous a parlé de sa carrière et de l'état du cinéma japonais d'aujourd'hui.
John Woo est un réalisateur éclectique. S'il a commencé chez la Shaw Brothers, il est surtout connu pour ses polars hongkongais. Ils ont en effet marqué toute une génération de cinéphiles par la maestria du réalisateur à mettre en scène des polars violents et outranciers (les Syndicats du crime, Une Balle dans la tête, A Toute épreuve ou encore The Killer). Après une longue carrière aux Etats-Unis, pour le meilleur (The Windtalkers, Volte-Face) ou le pire (Broken Arrow), et un retour en Chine (Les Trois royaumes), le voilà qui revient au polar hongkongais. Manhunt, qui avait tout pour faire frémir le fan de ses œuvres, sort directement en DVD et en Blu-Ray grâce à Metropolitan. L'occasion de revenir longuement sur un film alléchant sur le papier.
The Chrysanthemum and the Guillotine de Zeze Takahisa est une des bonnes surprises du dernier Festival Kinotayo : une fresque au résonances politiques toujours vivaces.
Après la découverte cette année du remarquable Have a Nice Day, SHe est l’occasion de découvrir un autre versant de l’animation indépendante chinoise. C’est le canal idéal pour les œuvres « à message » de cette animation chinoise, les moyens limités stimulant l’imagination et le propos de ses créateurs. Il s’agit là du premier long-métrage de Zhou Shengwei après une série de courts remarqués et se caractérisant par leur sens de la dérision et de l’absurde. On retrouve de cela dans SHe, projeté au Festival du Cinéma d'Auteur Chinois, à travers un environnement oppressant et un propos captivant animé en stop-motion.