Chaque samedi, Yannik Vanesse explore les territoires obscurs du cinéma de genre asiatique. Cette semaine, il a déniché pour vous la bande-annonce de… La Mort en ligne 2 de Tsukamoto Renpei.
Quand dans la programmation du Festival Franco-Coréen du film, on avait aperçu Invasion Of Alien Bikini, l’impatience de voir un bel ovni de série Z était très grande. Réalisé avec pratiquement rien, le film tient-il toutes ses promesses ? Par Jérémy Coifman.
Les 29 et 30 Octobre, tous les Otakus de France tournent leurs regards vers Orléans, où se tient Japan Expo Centre. Et bonne nouvelle, on vous offre des invitations ici ! Par Victor Lopez.
Invité d’honneur lors de la 5ème édition du FFCF en 2010, Ryoo Seung-wan est un jeune réalisateur, dont le film Die Bad fut considéré en Corée comme le premier long métrage le plus remarquable de l’histoire du cinéma coréen (rien que ça !). En 2000, il montrait avec ce film, son point de vue brutal sur le monde du début du 21ème siècle dans lequel coexistait la joie du nouveau millénaire et l’anxiété de la crise économique. Par la suite, quelques films comme No Blood No Tears ou encore The City of Violence ont suffi pour lui coller une étiquette de réalisateur de films d’action. Mais le cinéaste nous a également prouvé qu’il avait plusieurs cordes à son arc, notamment en matière de comédies loufoques, puisqu’avec son Crazy Lee en 2008, il nous gratifie d’un Austin Powers à la sauce coréenne, en bien plus barré. Avec un background comme celui-ci, il va sans dire que son dernier film, The Unjust était plus qu’attendu par votre humble serviteur… Par Olivier Smach.
Cette semaine, pendant que certains vivent au rythme du FFCF, Insert Coin revient sur le parcours de Level-5, studio de développement japonais devenu, en à peine une décennie, l'un des acteurs majeurs de l'industrie. Par Tony F.
Un premier film de (bien) plus de trois heures réalisé par un important critique coréen ? Esbroufe ou ambition esthétique démesurée ? Certainement un peu des deux : un film d'un interminable prétention, que quelques trop rares moments de grâce n'arrivent pas à rattraper. Par Victor Lopez.