Elephant Films a l'habitude de nous offrir de plaisantes série B. Cette fois-ci, c'est du côté de Hong-Kong que se tourne la firme, avec Time warriors, la révolte des mutants. Au programme : voyage dans le temps, mutants étranges et de nombreux combats emplis d'effets spéciaux.
Les festivals se suivant mais ne se ressemblant pas, c'est vers la Belgique qu'East Asia porte le regard pour s'intéresser au Festival Anima qui se déroulera du 8 au 17 février 2013 à Bruxelles.
Avec The Land of Hope, Sono Sion livre un film à charge contre l’énergie nucléaire et l’attitude des autorités japonaises face à une catastrophe inspirée de celle de Fukushima. Un film « militant » qui échappe à une certaine lourdeur dogmatique en se focalisant sur un sujet cher à Sono Sion : la destruction/construction familiale. Par Marc L'Helgoualc'h.
D’une intense sobriété, Japan's Tragedy, le dernier film de Kobayashi émeut et bouleverse. Le regard plein de tristesse et de résolution de l’immense Nakadai Tatsuya, qui porte le film avec une solidité inébranlable surtout reste en mémoire longtemps après la projection. Le constat est sans appel sur le destin du Japon, voire du monde, et une tristesse infinie transparaît dans chaque recoin du noir et blanc fixe du film. Ce désespoir transparaît jusqu’aux propos de Kobayashi lui-même, que nous avons eu la chance de rencontrer longuement pendant le Black Movie de Genève pour lui parler du film. Heureusement, la tristesse est contrebalancée par une gentillesse infinie, et une envie de partager son expérience avec ses spectateurs. Propos recueillis par Victor Lopez.
Après Outrage Beyond, Pieta ou Dead Sushi (lire ici), au tour de Chapiteau Show, Japan’s Tragedy ou Stateless Things de passer au radar critique de nos envoyés spéciaux au Black Movie de Genève, Victor Lopez et Julien Thialon.
Vennu au Black Movie de Genève accompagnée de sa productrice Park Joo-young pour présenter Juvenile Offender, le réalisateur coréen Kang Yi-kwan a accépté de nous rencontrer pour nous parler de son film. Propos recueillis par Victor Lopez.