En ouverture du Black Movie 2014 est projeté Wara no Tate de Miike Takashi, l'occasion de revenir sur la critique de Nicolas Debarle.
Le Festival international du film de Ouidah, qui s'est déroulé du 9 au 13 janvier au Bénin, a récompensé 9 films sur les 92 sélectionnés.
C'est parti, les Oscars sont d'ores et déjà en piste maintenant que la liste des films nominés a été dévoilée !
Avec un titre tel que Biriyani, l’on pouvait s’attendre à un banquet, aux effluves de girofle, cardamome, cannelle et curcuma, digne d’une cornucopia Rabelaisienne. Mais force est de constater, que ce met n’est servi que tardivement dans ce long-métrage et s’avère tenir un dessein atypique ! Ce plat indien, mêlant riz, épices et agrémenté de viande, volaille, œuf, poisson ou légumes, se caparaçonne ici sous les atours d’un alléchant MacGuffin. Si le gourmet ne trouvera point de quoi repaître son appétence pour la bonne chère, le cinéphile, quant à lui, savourera ce thriller ô combien rigolboche et palpitant.
Petit passage de l'autre côté du miroir pour ce troisième photo shot, exclusivement consacré à la présentation des joyeux membres de l'équipe du Black Movie, qui répondent à trois petites questions eastasiennes en passant tous sous l'objectif de Julien Thialon.
Le public français suit de près les projets de la réalisatrice hongkongaise Ann Hui depuis la sortie en 2013 de son film Une vie simple qui a raflé de nombreux prix, notamment celui de meilleur réalisateur au Golden Horse Film Festival et au Hong Kong Film Award.