A l’heure de se retourner une dernière fois sur cette 67ème édition Cannoise, on se demande quelles images restent encore à l’heure du retour à une vie sans trois films par jour. Surtout, quelles visions vont continuer à vivre au-delà du vase clos de la croisette, pouvoir exister en salles à la rencontre d’un public ou tout simplement marquer la découverte d’un auteur, d’un acteur. Premier constat, celui d’une présence d’un cinéma asiatique en perte de vitesse, dans les différentes compétitions mais aussi au marché du film, tant quantitativement qu’au niveau de l’intérêt qu’elle dégage.
Ghost in the Shell Arise Border 3: Ghost Tears sera projeté en avant-première le 28 juin au Grand Rex. En attendant cet évènement, découvrez la bande annonce !
La société de distribution Dissidenz, à qui l’on doit les sorties en salles de 25 novembre 1970 : le jour où Mishima choisit son destin, le film coréen Suneung, et le film allemand Ne m’oublie pas, a lancé son label spécialisé dans le cinéma asiatique : Dissidenz.Asia !
Le cinéaste Kore-eda Hirokazu, récompensé en 2013 à Cannes pour Tel père tel fils, réalisera l'adaptation du manga Kamakura Diary.
Après avoir été présenté à Cannes, à Deauville et à Bruxelles, Ugly, le dernier film d'Anurag Kashyap, arrive enfin en salles. L'occasion de découvrir le bouleversant film du réalisateur de Gangs Of Wasseypur.
Après Le vent se lève de Miyazaki Hayao, un second film d’animation vient cette année se pencher sur un passé historique douloureux du Japon avec L'île de Giovanni.