C'est à Kinotayo 2011 que nous avons pour la première fois rencontré Sono Sion, alors qu'il venait y présenter Cold Fish et Guilty of Romance, et qu'il était entre les tournages de Himizu et Land of Hope. Alors que sa dernière oeuvre, Tokyo Tribe, semble de nouveau déchaîner les passions lors de ses présentations dans le cadre de L'Étrange festival 2014 il nous a semblé opportun de vous livrer les propos de l'insaisissable cinéaste, en replongeant dans cette interview rocambolesque. Vidéo !
Bonjour à tous et à toutes, et bienvenus sur East Asia pour notre podcast estival, qui sent bon les grandes vacances et le goûter devant les dessins-animés des années 80 et 90. Avant de revenir sur les sorties cinéma de juillet et août, Alex, Sidy Sakho, Justin Kwedi, Elvire Rémand, Nicolas Lemerle et Victor Lopez évoquent leurs souvenirs d'enfance, biberonné aux animés de Récré A2, du Club Dorothée ou de Youpi ! L'école est finie. Plus d'une heure de débat nostalgique répondant à de grandes questions comme : pourquoi X-Or est-il toujours habillé de la même façon ou peut-on regarder Ken, le survivant à 6 ans !
Le manga Death Note, après avoir été adapté en film live au Japon en 2006, se prépare à atterrir aux Etats-Unis !
Le réalisateur japonais, Obayashi Nobuhiko, qui a commencé sa carrière dans les années 60, revient avec Seven Weeks, fraîchement sorti au Japon.
Koji Shirashi est un de ces réalisateurs japonais prolifiques. Il s’est fait connaître en Occident avec Grotesque en 2009 mais a réalisé depuis 8 films. Son nouveau film, A Record Of Sweet Murder, sera projeté en avant-première dans quelques jours au Festival de Punchon (PiFan).
Du 2 juillet au 3 août, la Cinémathèque française met à l’honneur le réalisateur japonais Fukasaku Kinji, cinéaste aux 40 ans de carrière. L'occasion était trop belle de se replonger dans notre entretien avec Olivier Hadouchi, auteur d'un passionnant ouvrage sur le réalisateur, Un cinéaste critique dans le chaos du XXème siècle (L’Harmattan, 2009), la lecture idéale pour accompagner la (re)découverte de la dense filmographie fukasakienne. Par Samir Ardjoum et Victor Lopez.