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La Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) consacre une rétrospective au réalisateur Morita Yoshimitsu, l’occasion de découvrir une œuvre riche, passionnante, subversive et encore injustement méconnue hors du Japon. On évoque Black House, extravagant, original et imprévisible incursion du réalisateur dans l'horreur.
Après les expérimentations jusqu'au-boutistes du diptyque Tetsuo, continuons la (re)découverte de la filmographie de Tsukamoto Shinya avec Tokyo Fist, éloge désenchanté de la violence par un réalisateur qui, s'il met de côté ses idées fantastiques les plus folles, n'en demeure pas moins capable d'asséner à nouveau un uppercut ravageur au spectateur.
Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Il nous livre ici ses réflexions autour de Morita Yoshimitsu, à l'occasion de la rétrospective que lui consacre La Maison de la Culture du Japon à Paris du 11 mai au 7 octobre dans le cadre du cycle Les maîtres méconnus du cinéma japonais.
Love Life est le nouveau drame familial de Fukada Koji, réalisateur qui confirme son penchant psycho-médical pour l’intimité du couple et les troubles amoureux d’individus perdus dans l’incertitude du présent et tentés par le refuge dans un passé jugé plus confortable.
Pour la 1ère fois, le film japonais déjanté House, réalisé en 1977 par Obayashi Nobuhiko, sera dans nos salles obscures le 28 juin 2023. En partenariat avec Potemkine Films, nous vous proposons de gagner des invitations.
Le Chat qui fume sort un superbe coffret réunissant les six films de la saga La Femme scorpion, fleuron du cinéma d’exploitation japonais des années 70. Retour sur La Mélodie de la rancune, ultime opus interprété par Kaji Meiko dans le rôle qui fit sa renommée.