En attendant la critique de Victor “sévère mais juste” Lopez vendredi, Anel Dragic vous explique pourquoi il faut aller voir Les Nuits rouges du bourreau de jade de Julien Carbon et Laurent Courtiaud dès aujourd’hui au cinéma !
Le polar hongkongais se montre décidément en petite forme depuis quelques années. Retombé en désuétude après un nouveau souffle lancé par des films comme Infernal Affairs et la vague de films Milky Way (qui ont largement contribué à redonner un certain engouement pour ce type de production), le genre se montre relativement peu inspiré dernièrement et le nombre de films chute lui aussi. Il est loin le temps où chaque semaine apportait son lot de bloodsheds, où il ne se passait pas un jour sans qu’un petit Lam Wai ou un Dick Wei ne soit quelque part à l’affiche. Aujourd’hui, les polars sont des véhicules à (plutôt grosses) stars, avec des budgets confortables et chaque sortie est un petit évènement pour les amateurs, qui finit bien souvent sur une déception. Triple Tap (on va quand même pas dire Shooters !) fait hélas partie de cette tranche. Par Anel Dragic.
À l'occasion de la sortie de Detective Dee, retour sur la dense filmographie de Tsui Hark ! Dernier volet sur l'œuvre, plus controversée mais toujours aussi intéressante, réalisée à partir de son exil aux États-Unis à l'aube de la rétrocession, entre 1997 ( Double Team) et 2008 (All About Women). Par East Asia.
À l’occasion de la sortie de Detective Dee , retour sur la dense filmographie de Tsui Hark ! Deuxième partie sur l’œuvre d’une incroyable richesse réalisée entre 1990 ( Swordsman ) et 1996 ( Tri-Star ). Par East Asia.
À l’occasion de la sortie de Detective Dee, retour sur la dense filmographie de Tsui Hark ! Première partie sur l’œuvre d’une incroyable richesse réalisée entre 1979 ( Butterfly Murders) et 1989 ( Le Syndicat du crime 3). Par East Asia.
Depuis sa critique acerbe du dernier Tsui Hark, Olivier Smach reçoit régulièrement chez lui des souches d’anthrax envoyées par des gardiens du temple prêts au sacrifice pour préserver l’honneur du barbichu. Le poids qui pesait sur mes épaules était donc énorme : “et s’il m’arrivait de ne pas aimer le film ?” me disais-je. L’heure de la critique est arrivée et sans langue de bois !