Quand l'on mixe Raymond Yip (Bruce Lee, naissance d'une légende), un casting de choix et un manoir hanté, qu'obtient-on? Le film d'horreur The House That Never Dies.
Plus d’un an après sa découverte à Cannes, le chef-d’œuvre de Jia Zhang-ke arrive en vidéo. Une année qui a encore fait murir un film sur lequel nous avons encore et toujours envie de revenir.
Un serpent qui traverse une route, un cheval battu à mort, un canard égorgé, des poissons remis à l'eau... A Touch of Sin décrit un bestiaire foisonnant qui éclaire les actes des humains qui le côtoient.
Avec A Touch of Sin, Jia Zhang-ke réalise un film d'une puissance et d'une densité hallucinante, pointant du doigt la lâcheté qui gangrène la Chine actuelle.
A Touch of Sin a été salué par toute l’équipe East Asia comme LE film de l’année 2013. Avec raison. Mais au-delà du choc cinématographique, digne d’un Takeshi Kitano, comment le film de Jia Zhang-ke s’inscrit-il dans l’évolution économique et culturelle de la Chine ?
À l'occasion de la sortie en vidéo de A Touch of Sin de Jia Zhang-ke, disponible depuis le 3 juin dans une belle édition de Potemkine, East Asia ouvre ses archives et ressort le débat enflamé sur le film entre Sidy Sakho, Jérémy Coifman, Yannik Vanesse et Victor Lopez. Bonne écoute et à la semaine prochaine pour notre monumental double podcast estival consacré aux films de l'été, et aux dessins-animés de notre enfance !