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Nous fêtons la 3ème année d’East Asia avec une grande mise à jour graphique mais également éditoriale avec l’ouverture à d’autres horizons cinématographiques. Court Métrange fêtant également son 10ème anniversaire en grande pompe, il nous ait apparut comme une évidence d’honorer ces deux anniversaires ensemble. Les monstres et monstruosités constituant le fil conducteur de cette édition, la connexion avec le cinéma asiatique, spécialiste en la matière en termes de monstres et bizarreries en tout genre, est logique.
Pour son nouveau film, le cinéaste thailandais Nawapol Thamrongrattanarit expérimente un concept assez novateut et contemporain basé sur Twitter.
Premier film de l’acteur israélien Sharon Bar-Ziv, Room 514 enferme son spectateur avec une enquêtrice militaire sous pression pendant une heure trente dans un décor unique. Un film de dispositif qui tient son ascétisme jusqu’au bout… mais pourquoi au fait ?
L'arrivée de Ong-Bak sur les écrans français fut un véritable choc, pour les amateurs de cinéma d'action, et même les autres. Le talent martial de Tony Jaa, associé à la folie des cascadeurs thaïlandais, eurent pour résultat d'offrir un spectacle assez inoubliable. TF1 ressort en blu-ray le film suivant de son réalisateur, Prachya Pinkaew, datant de 2005, toujours avec Tony Jaa. L'occasion de voir si, passé la surprise, le spectacle de son artiste martial en pleine action, vaut toujours autant le détour.
Découvrir un nouveau film de guerre russe est toujours une expérience en soit. Nombre d’entre-eux, en effet, de part leurs thématiques patriotiques, leurs héros sans peur et sans reproche, et leurs vils méchants, ressemblent aux films américains des années 80, quand Hollywood essayait, au cinéma, de gagner la guerre froide. Pourtant, parmi ce cinéma souvent déstabilisant, certains métrages essaient de se démarquer, comme ce War Zone, disponible chez Metropolitan dans une version hélas vierge de tout bonus.
Meni Yaesh avec les voisins de dieu, son premier long métrage, invoque Martin Scorsese ou Spike Lee en décrivant une jeunesse israelienne perdue, entre fanatisme, violence et désir d’évasion.