C'est l'événement du cinéma japonais de ce début d'année : découvert à Cannes, Oh Lucy!, le premier long-métrage de Hirayanagi Atsuko avec l'excellente et Josh Hartnett qui fait son grand come-back au cinéma, arrive dans les salles françaises le 31 janvier ! Nours Films vous invite à le découvrir en vous faisant gagner votre invitation pour deux personnes valable dans tous les cinémas projetant le film et deux affiches dédicacées par la réalisatrice !
Depuis 20 ans et sa Camera d’or pour son premier film Suzaku (1997), Kawase Naomi évolue dans la lumière bienveillante de Cannes, où elle est venu présenter son nouveau film Vers la lumière, en compétition officielle. Elle a accepté de nous parler de son beau film, en salles depuis le 10 janvier, relatant la rencontre entre une jeune audio-descriptrice incarnée par Mizaki Ayame et un photographe devenant aveugle, interprété par Nagase Masatoshi.
Nous avons découvert le film japonais Oh Lucy! au Festival de Cannes 2017, à la Semaine de la Critique. Le 31 janvier, le film sera disponible aux yeux de tout le monde !
Depuis quelques films, Kawase Naomi ramène son cinéma vers quelque chose de plus épuré, certains diront plus grand public. Avec Vers la lumière, la réalisatrice japonaise choisit la simplicité apparente d’une histoire d’amour sensorielle pour offrir une réflexion sur son propre média, sa propre sensibilité, sa propre vision, à découvrir en salles le 10 janvier.
Pas encore de titre mais un casting prometteur pour le prochain long-métrage du très attendu Kore-eda Hirokazu (Après la Tempête).
Avec Dans un recoin de ce monde, Katabuchi Sunao, un ancien du Studio Ghibli, signe un film qui a le mérite d’entretenir une proximité indiscutable avec Le tombeau des lucioles de Takahata Isao tout en s’en démarquant par la maturité du trajet proposé à Suzu, héroïne du film. Un film d’artisan, loin des querelles autour de la succession au roi Miyazaki ; on se souviendra que Suzuki Toshio, ex-grand patron de Ghibli, adoubait Anno Hideaki en tant que seul héritier possible. Et comme Oshii Mamoru, Hosoda Mamoru, Shinkai Makato, Katabuchi s’inscrit singulièrement hors de la tourmente, à l’heure du énième retour de Miyazaki.