Stephen Sarrazin présente dans DC Mini, nom emprunté à Kon Satoshi, une chronique pour aborder « ce dont le Japon rêve encore, et peut-être plus encore ce dont il ne rêve plus ». Ce mois-ci, retour sur le dernier film du réalisateur de Senses, présenté en compétition à Cannes en attendant sa sortie française en janvier 2019.
Alors que Avant que nous disparaissions est toujours dans les mémoires, le maître japonais opère une variation dans le même univers, Invasion, sorti en salles le 5 septembre. Cet intriguant objet nous permet d’apprécier comment Kurosawa Kiyoshi nous offre un autre angle sur une fin que nous connaissons déjà.
Une bande-annonce vient d'être dévoilée pour Smartphone o Otoshita dake nanoni, qui n'est quatre que le prochain long-métrage de Nakata Hideo (Ghost Theater).
Le 7 octobre débarquera une nouvelle série sur HBO Asia, intitulée Folklore. Une anthologie 100% asiatique faite de fantômes... Voici le trailer !
Au cours de la production de Tel père, tel fils (2013), Kore-eda Hirokazu a eu l’occasion d’échanger avec le responsable juridique du film qui lui affirma que le tribunal n’était pas le lieu où se décidait la vérité. Cette opinion le fascina au point d’envisager d’y consacrer un film, ce qui se concrétise donc avec le drame judiciaire The Third Murder. A première vue, ce film détonne avec les drames familiaux sensibles qui ont fait sa renommée mais les méandres du récit révéleront la profonde cohérence que le réalisateur entretient avec le reste de son œuvre.
Anatahan où quand un génie hollywoodien s'épanouit dans une production indépendante japonaise. Josef von Sternberg signe un film à la fois détonant et emblématique de son œuvre qui ressort en salles, en copie restaurée, le 5 septembre, dans le cadre de Japonismes 2018.