Depuis sa critique acerbe du dernier Tsui Hark, Olivier Smach reçoit régulièrement chez lui des souches d’anthrax envoyées par des gardiens du temple prêts au sacrifice pour préserver l’honneur du barbichu. Le poids qui pesait sur mes épaules était donc énorme : “et s’il m’arrivait de ne pas aimer le film ?” me disais-je. L’heure de la critique est arrivée et sans langue de bois !
Vendu comme le premier slasher made in Hong Kong, Dream Home aura fait couler de l’encre (mais de l’encre d’imprimante, XXIe siècle oblige) depuis l’annonce de sa mise en chantier. D’une part en raison de sa nature de film d’horreur, un genre, il faut l’avouer, depuis trop longtemps assez peu porteur de pépites à Hong Kong. D’autre part en raison de l’homme aux commandes : Pang Ho Cheung, devenu en quelques années la nouvelle coqueluche type du réalisateur indépendant s’essayant à des projets jugés plus subtils que la moyenne. Par Anel Dragic.
Nouveau Week End, nouvel Insert Coin ! cette semaine, la Captivate de Capcom, des annonces de sorties en pagaille, et les rumeurs plus qu’insistantes de la prochaine console made in Nintendo… Par Tony F.
S’il y a une production Jackie Chan des années 1980, dans laquelle le bonhomme ne joue pas, qui aura pourtant réussie à prendre une place particulière dans le cœur des fans de cinéma hongkongais, c’est probablement la saga des Inspector Wears Skirts, composée de quatre opus, tous sortis entre 1988 et 1992. Alors que Metropolitan édite les deux premiers volets sous le titre de Top Squad (toute la poésie du titre passant à la poubelle), l’occasion de revenir sur le deuxième film était trop belle pour ne pas être saisie. Si les gendarmettes, l’humour cantonnais et les artistes martiaux vous mettent l’eau à la bouche, alors The Inspector Wears Skirts 2, toujours réalisé par Wellson Chin, semble avoir tout le potentiel pour être votre tasse de thé. Vérification avec la critique, tout de suite! Par Anel Dragic.
La sortie française en DVD de la version longue des Trois Royaumes, grande fresque épique de John Woo, est l’occasion de se pencher sur la renaissance du genre le plus populaire de Chine : le Wu Xia Pian, ou film de sabre, tombé en désuétude après la rétrocession de HongKong à la Chine en 1997, mais revenant avec force au tournant des années 2000. Par ictor Lopez.
En direct d’Angleterre, depuis un PC portable appuyé contre un radiateur, Insert Coin vous revient pour une nouvelle exploration de la semaine vidéoludique ! Par Tony F. Partager Suivre