Cet été, France.tv nous régale avec toute une série de films issus du meilleur de la japanimation. L’occasion de vous parler d’un des premiers films de Takahata Isao, cofondateur des studios Ghibli : Kié la petite peste, son deuxième long-métrage sorti en 1981 au Japon. Le film est aussi connu sous le titre de Jarinko Chie, qui signifie littéralement "Kié la môme/cancre", car Kié n’a rien d’une peste, bien au contraire.
70 ans après sa sortie française, en 1952, Rashômon de Kurosawa Akira revient briller en salles dans sa version restaurée. Potemkine Films nous propose de (re)découvrir ce chef-d'œuvre d’écriture qui a marqué et nourri durablement l’Histoire du cinéma. Rashômon se range en effet parmi ces films “classiques” qui constituent encore aujourd’hui le terreau fertile de notre cinéma moderne.
Lorsque l'on évoque le Nouveau Cinéma taïwanais, les noms de Hou Hsiao-hsien et d'Edward Yang apparaissent immédiatement. Pourtant, la bande de la nouvelle vague ne se limite pas seulement à ces deux réalisateurs. D'autres cinéastes ont appartenu au mouvement, et ont accouché d’œuvres au souffle égal aux noms précédemment cités. Aujourd'hui, penchons-nous sur Chang Yi et son film Kuei-mei, a Woman, sorti sur les écrans taïwanais en 1985.
Réinterprétation hongkongaise du Backdraft (1991) de Ron Howard et dernier film de commande de Johnnie To avant qu'il ne fonde la Milkyway Image, Lifeline (1997) n'en reste pas moins un évènement charnière dans la carrière du réalisateur. Les éditions Spectrum nous proposent cette rare immersion au cœur des flammes, dans un combo Blu-Ray avec jaquette réversible accompagné du film Loving You (1995).
France TV nous propose, une fois de plus, un sublime programme de japanimation avec Tokyo Godfathers de Kon Satoshi qui s'essaie au conte de Noël tout en préservant ses thèmes de prédilection.
Réalisateur de seulement deux films, Le Meurtrier de la jeunesse (1976) et L’Homme qui a volé le soleil (1979), Hasegawa Kazuhiko a traversé l'industrie cinématographique de la fin des années 1960 au début des années 1990. Son parcours est essentiel pour comprendre l'évolution du cinéma japonais. Portrait.