rester connecté
Mot de passe oublié ?
Troisième film de fiction présenté au Festival Shadows du cinéma indépendant chinois, Sentimental Animal est de loin le plus atypique. Au menu : scènes de réalisme cru, austérité janséniste, éclats symboliques et mise en scène expérimentale. Fascinant. Déroutant. Agaçant. Barbant. C'est selon.
Le 16 novembre a débuté au Gaumont Opéra le Paris International Fantastic Film Festival, dit PIFFF. Pendant 10 jours de projection, vous aurez l’occasion de vous en mettre plein les mirettes, surtout que le cinéma asiatique est très représenté et ce, dans les films en compétition, hors compétition mais également les courts métrages. Au programme, quelques films coréens mais surtout, la dernière bobine de Tsui Hark, en première française ! Par Lvi.
La troisième édition du Festival Asian Connection qui s’est déroulée pour la première fois exclusivement en ligne du 8 au 14 octobre proposait sept films asiatiques inédits en France. Une sélection éclectique aux thématiques variées et singulières privilégiant les nouveaux réalisateurs, du Japon à l’Irak en passant par la Corée du Sud, l’Inde et l’Iran : un bon moyen de déceler les nouveaux talents. East Asia ne pouvait décemment pas passer à côté de cet événement dont on vous livre le compte-rendu globalement satisfaisant ! Par Marc L'Helgoualc'h
Projeté à l’occasion du Festival du cinéma indépendant chinois Shadows, Black and White Photo est le premier long métrage de fiction de Shu Haolun (舒浩仑). Un film réussi sur l’adolescence et les premières amours dans le Shanghai aujourd’hui disparu de la fin des années 80. Par Marc L'Helgoualc'h.
C’est la dernière œuvre du chef de file du cinéma tibétain contemporain qui a ouvert le Festival Shadows : Old Dog, une œuvre libre et forte du grand Pema Tseden. Par Victor Lopez.
Existences solitaires, réflexions sur l’identité, violence de l’amour, ambiguïtés sexuelles… Stateless Things réunit toutes les préoccupations précédemment filées dans les courts-métrages de Kim Kyung-mook tout en les incorporant, cette fois-ci, dans un récit (plus ou moins bien) construit et non plus seulement dans une série d’images fortes sans véritable tension dramatique. Mais que l'on ne s'y trompe pas, Stateless Things reste un film contemplatif privilégiant largement l'atmosphère à l'action. Par Clément Pascaud