Du 28 janvier au 2 février se déroulera la nouvelle édition du Festival du Film d'Asie du Sud (FFAST) au Grand Rex, à Paris. On découvre sa programmation !
Le Festival Allers-Retours Cinéma d’auteur chinois à Paris est de retour pour sa 3ème édition du 24 janvier 2020 au 4 février 2020, au Musée Guimet et au Studio des Ursulines. On découvre le programme !
2019 aura marqué l'avènement du cinéma coréen auprès du grand public, notamment grâce au succès populaire de Parasite de Bong Joon-ho. Le Festival du Film Coréen à Paris (FFCP) aura donc eu à cœur d'être à la hauteur en termes d'invités. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce fut le cas : le rôle principal de Parasite, probablement le plus grand acteur coréen contemporain, Song Kang-ho, était un invité de la section focus, accompagné du non moins célèbre réalisateur de la nouvelle vague coréenne : Kim Jee-woon. Ils sont tous deux venus présenter auprès du public 3 des 4 films qu'ils ont tourné ensemble : The Quiet Family (1998), Le Bon, la Brute et le Cinglé (2008) et The Age of Shadows (2016). Nous avons pu nous entretenir avec ces deux monstres sacrés du cinéma coréen.
Présenté en ouverture de la 14ème édition du festival Kinotayo, And Your Bird Can Sing de Miyake Sho chronique une génération coincée entre angoisse existentielle et jouissance de l'instant présent, à travers un étrange trio amical et amoureux.
OFNI inclassable présenté à Paris au festival Kinotayo du 26 novembre au 9 décembre 2019, le portrait de l’hurluberlu du quartier de Shinjuku à Tokyo, dans le documentaire Shinjuku Tiger réalisé par Sato Yoshinori, relève de prime abord de la mystique. Visible dans la section Hors les murs jusqu’en février 2020, East Asia vous conseille […]
Repéré au Festival de Busan où le film fut présenté en 2018 et au cours duquel son actrice principale, la touchante Choi Hee-seo fut récompensée, Our Body est un premier long métrage qui a fait son petit effet l'automne dernier au Festival du Film Coréen à Paris (FFCP). Un film personnel au cours duquel la jeune cinéaste Han Ka-ram partage au travers de son expérience les travers d'une société coréenne étouffante et traite de l’émaciation de son héroïne grâce au sport. Un magnifique portait de femme qui sous ses atours de drame social s'avère galvanisant dans cette réappropriation du personnage de sa féminité.