Ishii Yuya nous offre avec The Tokyo Night Sky Is Always the Densest Shade of Blue une errance amoureuse en forme de poème sur Tokyo.
Oh Lucy!, notre coup de cœur issu de la sélection cannoise de La Semaine de la critique, de la jeune réalisatrice japonaise Hirayanagi Atsuko, est à redécouvrir à Kinotayo avant d'arriver en salles début 2018. Co-produit avec les Etats-Unis, le film a été tourné entre Tokyo et Los Angeles. Adaptant son propre court-métrage éponyme, Hirayanagi Atsuko signe ici son premier long-métrage, avec une refonte totale du casting, beaucoup plus prestigieux, et une ambition revue à la hausse.
La Semaine de la Critique est un peu le laboratoire de Cannes, la sélection d’où émergent les talents de demain. C’est là que l’on a pu découvrir cette année Oh Lucy!, le premier long-métrage de la cinéaste japonaise Hirayanagi Atsuko, tourné entre le Japon et les Etats-Unis avec un casting international, réunissant Terajima Shinobu et… Josh Hartnett ! Rencontre avec la réalisatrice alors que son film est présentée à la 12ème édition du Festival du cinéma japonais contemporain Kinotayo en attendant sa sortie dans les salles françaises début 2018.
La 12e édition du Festival du cinéma japonais contemporain Kinotayo approche à grand pas puisqu’elle se déroulera à Paris et dans le Val d’Oise du 2 au 20 novembre. Le festival ira ensuite en région (Cannes, Le Cannet, Marly, Saint-Malo, Strasbourg, Pau, Lyon et Chambéry) jusqu'en février 2018 pour le plus grand plaisir des non-Parisiens ! C’est l’événement de cette fin d’année pour East Asia (et pour tous les amoureux de cinéma japonais) et bonne nouvelle, on vous offre ici 5 invitations pour deux personnes !
La 12e édition du Festival du cinéma japonais contemporain Kinotayo approche à grand pas puisqu’elle se déroulera à Paris et dans le Val d'Oise du 2 au 20 novembre. Le festival ira ensuite en région (Cannes, Le Cannet, Marly, Saint-Malo, Strasbourg, Pau, Lyon et Chambéry) pour le plus grand plaisir des non-Parisiens !
Tomita Katsuya avait marqué les esprits en 2012 avec son film Saudade, devenant ainsi le fer de lance d'une nouvelle génération de cinéastes indépendants au Japon. Il nous revient cinq ans plus tard, avec un nouveau film, Bangkok Nites, consacré à une population immigrée sauf que cette fois-ci, il s'agit d'une partie la communauté japonaise qui occupe un quartier chaud de Bangkok. Dans ce nouveau long métrage, le réalisateur fait un état des lieux de la Thaïlande au travers de ces femmes prostituées et livre un film riche et troublant sur les réalités économiques et morales du pays avec une sensibilité emprunt de rêveries.