Et voici certainement le film le plus inutile de tout le festival : Bollywood, the greatest love story ever told. Fort heureusement pour vous, si vous l’avez raté à Cannes, vous aurez sans doute la chance de ne jamais le voir ! Par Victor Lopez.
Décidément, les sélectionneurs de la Quinzaine ont décidé de nous perdre dans la jungle cette année : après le Palawan de Bosung, voici l’Inde de Chatrak (aka Mushrooms ). Par Victor Lopez.
« Il était enfin temps de présenter au monde l’univers Palawan ». Auraeus Solito, réalisateur philippin qui signe avec Busong le premier film dans la langue des natifs de l’île de Palawan, à l’extrême sud de son pays. Par Victor Lopez.
En attendant la projection d’ Ichimei en compétition officielle, le spectateur cannois pouvait déjà jeter un œil sur le Miike suivant, le manga-live Ninja Kids. Une chose est sûre : en voilà un qui ne sera jamais en compétition officiel à Venise, Cannes ou Berlin ! Par Victor Lopez.
Le réalisateur de Machine Girl revient avec un hommage à la fois jouissif, décalé et respectueux au Super Sentaï en réactualisant Zaborgar ! FIGHTO ! Par Victor Lopez.
L’année dernière, Cannes avait fait plaisir aux amateurs de cinéma asiatique avec une consécration (Weerasethakul), une résurrection (Kitano), une découverte (Jang Cheol-so) et un bon paquet de confirmation (Hong Sang-soo, Lee Chang-dong, Im Sang-soo, Jia Zang-ke). Et s’il est encore trop tôt pour dire ce que va donner la sélection asiatique cette année, on peut déjà se réjouir de pouvoir miser sur au moins dix films attendus ! Passage en revu de nos favoris, en sachant que la surprise peut venir d’ailleurs (des courts, des inconnus, du marché du film…), et qu’ East Asia guettera cela avec attention durant toute la durée de la quinzaine en ces pages ! Par Victor Lopez.